Si tu es nouveau ici, tu ne dois pas encore savoir que depuis quelques années, je souffre d’anorexie mentale et d’orthorexie.
Alors même si j’ai réussi à dompter petit à petit cette seconde facette de mes troubles du comportement alimentaire, je dois reconnaître que je suis bien loin d’être sortie de la première.
Pourtant tout doucement, j’essaie de reprendre pied. D’écouter mon corps, que j’ai tellement affamé et affaibli. De lâcher prise et de ne pas suivre cette petite voix qui a tendance à vouloir me faire culpabiliser à chaque bouchée avalée. Malheureusement, ce n’est pas toujours évident. C’est un combat de chaque instant, contre moi-même.
Grâce à Instagram, j’ai la chance d’avoir pu faire de belles rencontres. Certaines juste virtuelles, d’autres plus concrètes. Les unes comme les autres m’apportant énormément. Des personnes bienveillantes, qui me soutiennent, me motivent et me conseillent.
L’une de ces gentilles fées se nomme Sarra. Créatrice du blog Quinoa et Basmati, elle partage avec passion son vécu et ses recettes.
C’est à 26 ans que tout a commencé pour elle. Des douleurs s’installent, des états inflammatoires, une énorme fatigue et des soucis cutanés. Un tas de symptômes qui font souffrir son corps et qui l’empêche au fil du temps, de travailler et de vivre << normalement >>. Malgré différentes analyses et consultations, les médecins ne parviennent pas à mettre le doigt sur ce qui cloche. Seule solution proposée : prendre son mal en patience.
Bien joli tout ça et plus simple à dire qu’à faire…
Sarra ne se laisse pas démonter et décide de prendre rendez-vous avec un médecin généraliste naturopathe, qui va lui conseiller de revoir son alimentation.
Après quelques péripéties, la jeune femme ayant constaté que cette nouvelle façon de s’alimenter l’aide considérablement et calme pas mal de ses symptômes, elle adopte totalement ce régime << décalé >>.
Elle évite certains aliments qui ont tendance à favoriser un état inflammatoire ( céréales mutées, sucre raffiné, lactose…. ) et privilégie le fait-maison.
Si je t’explique tout ça, c’est pour te parler de l’ebook de Sarra, Mon alimentation décalée.
Celui-ci, que mon amie a eu la bonté de m’offrir, est bourré de pépites pour prendre soin de son corps au travers de son assiette.
Non seulement on y apprend tout le parcours de Sarra, mais aussi les grands principes de cette alimentation, en passant par des infos sur l’index glycémique et sur les indispensables à avoir dans son placard.
Bien évidemment, comme Sarra cuisine tout le temps, elle donne des astuces sur la pâtisserie décalée ( sans gluten, sans œufs, sans beurre…. ), ainsi que pour la comfort food ( qu’elle n’a pas pour autant totalement rayée de son quotidien, mais juste appris à préparer avec les ingrédients qui lui font du bien ).
Sans oublier des tas de recettes fort sympathiques, à tester d’urgence !
De quoi avoir toutes les cartes en main pour manger avec plaisir, sans craindre que notre corps nous rappelle à l’ordre. Pour plus d’infos sur l’alimentation anti-inflammatoire, je t’invite à jeter un coup d’oeil ICI .
Personnellement, je suis hyper reconnaissante envers Sarra de m’avoir fait parvenir son ebook.
Et oui ma belle, ce message s’adresse directement à toi ! ^^ Car depuis que je l’ai, je me suis rendue compte que j’avais un peu avancé dans mon combat. Moi qui bloque tellement face à la moindre farine, j’ai réussi à profiter des fêtes, en mangeant de chaque pâtisserie que j’avais pu cuisiner. Et ça, c’est grâce à toi!
Toute la partie de ton ebook sur la pâtisserie décalée et en particulier l’index glycémique des farines sans gluten m’a permis et me permet, de relativiser face à mes peurs. Car c’est l’IG qui m’effraie le plus dans les farines. C’est ce point là qui tourne en boucle dans ma tête lorsque je vois un gâteau, une crêpe, ou un morceau de pain.
Maintenant je suis plus à l’aise pour faire mes mélanges de farines et poudres.
Alors merci! Merci énormément ma douce!
Je vais pouvoir donner plus facilement vie à mes envies gourmandes, en culpabilisant bien moins qu’avant. Et qui sait…. Peut être qu’à force, la calculatrice qui s’enclenche à longueur de journée dans ma tête va finir par s’en aller définitivement….