Miroir Miroir, écrit par Serena Valentino, fait partie de la collection Disney Villains, publiée par les éditions Hachette.
Dans ce premier tome de la saga, on découvre une autre facette de la belle-mère de Blanche-Neige, que l’on a plutôt l’habitude de connaître sous un aspect froid et cruel.
En remontant dans le passé de cette Reine calculatrice, on comprend comment elle a fini par devenir cet être sans cœur.
Son enfance nous est dévoilée, tout comme ses craintes et son besoin d’amour. Amour qui lui tombera d’un coup dessus, sans qu’elle ne parvienne à vraiment y croire, et qui malheureusement lui sera bien trop vite arraché, la laissant veuve avec une fillette à consoler.
Ce drame, ainsi qu’une bien mauvaise rencontre, vont la pousser vers une part d’ombre cachée en elle, réussissant petit à petit à la détruire totalement, jusqu’à faire d’elle une femme glaciale prête à tout pour rester la plus belle du royaume.
Personnellement, j’ai beaucoup apprécié ce livre. Moi qui au départ ne suis pas une grande fan de cette reine, je dois dire que là, je m’y suis attachée et ai eu pas mal de compassion pour elle.
Serena Valentino a eu la bonne idée de ne pas ajouter trop de personnages secondaires, (hormis la fâcheuse rencontre dont je parlais plus haut) et de vraiment se concentrer sur la jeune femme. Un bon point pour moi, car cela permet de ne pas se perdre dans des situations annexes, qui ne feraient que de nous distraire.
On ressent énormément la détresse de la Reine face au décès prématuré de son grand amour. À tel point que l’on aurait presque envie de lui apporter notre soutien et de tout faire pour l’aider à remonter la pente.
Captivée par l’histoire, j’en suis venue à détester la mauvaise rencontre de la Reine, souhaitant qu’il lui arrive malheur et que finalement la belle-mère de Blanche-Neige soit sauvée de la noirceur qui lui tend les bras.
Un roman qui se lit avec aisance, pouvant très bien convenir à des ados ( peu de pages et écriture fluide).
Qui ne connaît pas les fameux bonbons Têtes Brûlées ? Ici, on adore tous ça. Ce côté très acidulé et bien piquant… Une tuerie !
Alors bien entendu, mes gremlins avaient hâte de testerla Fabrik à filcommercialisée par la marque.
Comment ça fonctionne ?
Pour commencer il faut transverser l’acide citrique dans une petite boîte prévue à cet effet.
Puis verser 3 cuillères de 25ml de sucre semoule ( qui n’était pas fourni), dans une autre boîte, en y ajoutant un sachet de poudre colorante et un sachet d’arôme.
Vient l’étape de l’acide citrique, où il faut choisir la dose à ajouter par rapport au piquant que l’on désire.
On ferme et on secoue beaucoup.
À cette étape, un adulte est nécessaire car après avoir laissé tremper les nouilles 10 min dans de l’eau froide, il faut les mettre 5 min dans de l’eau bien chaude.
On les dépose sur du sopalin ( galère car ça colle au papier) puis on les mets dans la boîte de sucre.
On mélange puis on les dispose à nouveau sur du sopalin.
On refait une seconde fois cette partie et c’est prêt.
Nos impressions :
Tout d’abord, le côté amusement est bien là. Faire leurs mélanges, devoir tout secouer, tremper les doigts dans la poudre répandue sur la table pour ensuite les lécher… Ça a vraiment plu aux enfants . Par contre, ils ont eu beaucoup de mal à fermer les différentes boîtes. Moi aussi d’ailleurs. Ce point n’est pas adapté aux enfants.
Niveau texture, on repassera. Clairement ça n’a rien à voir avec les véritables fils acidulés. Le sucre piquant finit très rapidement par fondre et l’on se retrouve avec des nouilles baignant dans un sirop gélatineux. Et si l’on suit la notice qui précise que l’on doit conserver les bonbons au frigo jusqu’à 48h, on a finalement des nouilles très dures qui se sont rétractées et ne peuvent plus être mangées.
Pour ce qui est du goût, les gremlins ont apprécié. Ils ont retrouvé les parfums originaux. Mais il faut faire attention, car si l’on respecte les doses d’acide citrique notées dans la notice, on risque d’obtenir des bonbons extrêmement piquants. Et pourtant, je peux te dire que normalement, on tolère très bien ça. Du coup, ils préfèrent désormais utiliser les restes de sucres acidulés pour parfumer les yaourts.
Pour la fête des pères du Chéri, nous avions envie d’un repas simple, sans grosse préparation et frais, vu les chaleurs élevées du moment.
Les différents produits que l’enseigne Croc’ Frais venait gentiment de me faire parvenir pour les tester, tombaient plus que bien.
Pour la petite histoire, Croc’ Frais est une entreprise Française qui a été fondée en 1998, mettant en avant l’olive fraîche. Ces dernières proviennent du bassin méditerranéen (Grèce, Maroc, Espagne, Italie..). Croc’ Frais ne fait subir aucun traitement thermique à ses produits, ni ajout de conservateurs, de façon à en conserver le goût originel.
Du coup, il a juste fallu accompagner tout ça de bâtonnets de légumes croquants et de quelques biscuits apéritifs, pour que toute la tribu puisse se régaler.
Car il n’y a pas d’autres mots. Notre découverte de ces différents produits a de suite était validée haut la main, aussi bien par les Gremlins que par le Chéri et moi-même.
Nous avons pu voyager vers l’Orient avec les savoureuses olives au piment, ail et persil. Mes préférées d’ailleurs, car bien relevées. J’ai adoré les petits morceaux de piments mélangés aux olives. Un bonheur à croquer pour qui aime avoir la bouche en feu. ( en moyenne : 2€75 la barquette de 200g )
Nous avons eu la joie de tester une nouvelle recette de 2021 de la gamme Signature qui grâce à sa ciboulette, invite les gourmands à s’imaginer prenant l’air dans un jardin plein d’herbes aromatiques. Nous allons vite devoir en ravoir, car je pense que ces olives seraient parfaites dans une salade avec de la feta. ( en moyenne : 2€45 la barquette de 150g )
Les tartinables de la gamme Les Créatives, ont fait autant fureur sur les croutons ( minis toatsts ) envoyés par Croc’ Frais, qu’en trempant des légumes dedans.
Nous avons pu déguster les 3 nouvelles recettes de 2021.
Aussi bonnes les unes que les autres, bien entendu chacun a eu son coup de cœur. Pour ma part, comme j’adore depuis toujours la tapenade, j’ai énormément kiffé la recette aux olives noires / légumes / quinoa qui m’a largement fait penser à ce plaisir bien de chez moi.
La recette au miel a conquis par sa douceur les becs les plus sucrés de la famille .
Et le houmous revisité était bien légère avec une touche de curry bien présente sans être trop forte.
Bref, tu l’auras compris, nous avons franchement apprécié les produits de Croc’ Frais et nous ne tarderons pas à en acheter pour de bons apéros d’été.
Petite astuce zéro déchet : fais comme moi, utilise la marinade qui reste dans les barquettes une fois les olives mangées, pour assaisonner tes salades ^^
Toi aussi tu veux goûter ces produits de l’enseigne Croc’ Frais ?
Quel plaisir de reprendre goût à la lecture après tant de temps où mon cerveau ne tenait plus le coup fasse à un bouquin. L’anorexie fait vraiment des ravages, comme celui d’empêcher les gens de se concentrer.
Alors maintenant que je suis à nouveau en état pour me plonger dans des romans, j’en profite à fond et rattrape mon retard.
Ça faisait bien longtemps que j’avais repéré le livre Pauvre âme en perdition de Serena Valentino . Moi qui aime beaucoup le personnage d’Ursula, j’avais grave envie d’en savoir plus sur elle et ses tentacules.
C’est donc grâce à Vinted et ses livres d’occasion, que j’ai pu plonger au cœur de l’océan et rejoindre l’effroyable Cecaelia.
L’idée des romans de la collection Villains Disney ( édition Hachette Heroes) est de nous faire découvrir les méchants sous un nouvel angle. Un concept fort sympathique selon moi.
Du coup, on est en droit de se demander qui est Ursula? Pourquoi est-elle comme elle est ? A-t-elle toujours eu ce côté maléfique et cette haine envers Triton ?
Derrière son apparence étrange d’une créature mythologique, ( dont l’espèce serait née suite à l’union interdite d’une sirène et d’un des enfants du Kraken), se cache une âme meurtrie et désespérée.
Abandonnée, rejetée et trahie par son propre frère, Triton, la sorcière des mers se dévoile petit à petit au fil des pages. On comprend bien vite qu’elle n’a pas vu le jour avec une telle fureur et un tel besoin de détruire Ariel. Certains événements l’ont conduite à se forger une carapace et l’ont poussé sur la mauvaise pente.
D’ailleurs, son cher frangin n’est pas le seul coupable dans cette désagréable métamorphose. Les humains ont eux aussi apporté son lot de souffrance à Ursula.
Pas étonnant après tout ce qu’on lui a fait subir, qu’elle ait tellement de rancœur et de soif de vengeance en elle.
Malgré cet aspect passionnant pour moi qui aime connaître le passé des personnages Disney, j’avoue avoir eu un peu de mal à suivre l’histoire par moment. Et pour cause, il faut savoir que les livres Villains Disney, sont à lire dans un certain ordre : ordre de parution. Ce que bien entendu, je ne savais absolument pas jusque là.
En lisant les péripéties d’Ursula, j’ai rapidement compris mon erreur.
Tout au long des chapitres, on retrouve des allusions à des scènes qui se seraient déroulées dans les précédents romans. De même que de nombreux personnages qui n’existent pas au départ dans les dessins animés de Walt, mais sont apparus dans les premiers tomes de cette saga, viennent taper l’incruste dans la vie d’Ursula.
On a donc vite fait de s’y perdre.
Autre point un peu dérangeant, je trouve, c’est l’intrigue des 4 sœurs sorcières. Pauvre âme en perdition devant logiquement être consacré à Ursula, a plus tendance à tourner autour de la mésentente entre 4 frangines (dont aucune d’elles n’est Ursula).
Alors soit, ces autres sorcières ont un rôle à jouer dans les aventures de la Cecaelia, puisqu’elles vont lui prêter main forte dans son projet de faire du mal à Triton en passant par Ariel. Mais on en revient encore au fait que si on a le malheur de lire dans le désordre cette collection, on ne comprend rien à certains moments.
Bref, malgré une intrigue prometteuse, je reste sur ma faim avec un sentiment d’avoir plus passé des heures à rechercher Circé, l’une des 4 frangines, qu’à découvrir la réelle personnalité d’Ursula.
Au moins, ce bouquin aura le mérite de m’avoir montré Triton sous un tout nouvel angle, qui est loin d’être reluisant.
En conclusion, même si je suis contente d’avoir enfin lu Pauvre âme en perdition ( qui se dévore bien vite) , je suis assez mitigée face à ce livre. Je n’en ai pas appris autant que je l’aurais souhaité sur la sorcière des mers, mais je ne peux pas non plus exclure les quelques faits la concernant que j’ai pris plaisir à découvrir.
Il va donc falloir que je recommence la collection Villains Disney par le début, c’est à dire avec le bouquin Miroir Miroir ( puis l’histoire de la Bête, pour enfin arriver à celui-ci) . Peut-être que là, l’intrigue sera plus fluide et logique, d’un livre à l’autre.
Je te retrouve aujourd’hui pour te parler à nouveau de l’enseigne Sunday Natural. Oui, je dis « à nouveau » car je t’avais déjà présenté cette marque et ses valeurs, lors de la publication d’une recette à base de poudre de shiitake, que tu peux découvrir ici.
Cette fois-ci, c’est pour te donner mon avis sur certains compléments alimentaires proposés par Sunday Natural, que je prends le temps d’écrire ces quelques lignes.
Mais d’abord, laisse moi te planter le décor…
Si tu me suis depuis longtemps, tu sais que je souffre depuis 2015 d’anorexie mentale. Cela signifie que je mange et prends plaisir à manger, mais que malheureusement, j’ai éliminé bien des aliments de mes repas. Ce qui, lié à une bien trop forte activité physique durant 5 années, a eu de grosses conséquences sur mon corps, entraînant d’autres problèmes de santé.
Dont, entre autres, le syndrome de l’intestin irritable ainsi que la maladie de Gilbert, et une anémie.
J’ai eu beau durant 1 an et demi , suivre une alimentation pauvre en fodmap, qui du coup m’a fait rayer d’autres aliments de ma maigre liste acceptée par l’anorexie, rien ne s’est arrangé.
C’est pourquoi j’ai dû passer différents examens et consulter de nouveaux spécialistes.
C’est là que l’on m’a conseillé de prendre certains compléments alimentaires. À savoir, des vitamines, du fer et des gélules à base de curcuma.
Le fer, j’en manque beaucoup, d’où l’anémie, donc je dois remonter ça à l’aide de comprimés à avaler tous les jours.
Les vitamines, je dois en prendre sous 2 formats: 2 ampoules de vitamine D à 15 jours d’intervalle, et de la vitamine B.
Pour cette dernière, je me suis donc tournée vers les gélules All in one de Sunday Natural, ( 26€90 les 120) qui en plus de m’apporter mon complément en vitamine B, me permettent de faire le plein d’autres nutriments nécessaires à mon corps. Ces gélules contiennent non seulement, différentes vitamines (B12, C, D3, K2, E…), mais aussi des acides aminés, des oligo-éléments et des minéraux.
Avec tout ça, je dois dire qu’après 3 semaines de cure, je me sens bien moins fatiguée, même si je ne pète pas le feu tous les jours non plus ^^ Ça m’aide à pallier au manque de certains nutriments qu’engendre mon anorexie. Le tout grâce à des compléments végans, qui ne sont pas bourrés d’additifs, de colorants ou de conservateurs.
On m’a aussi demandé de prendre des gélules de curcuma, dans l’optique de calmer mes douleurs digestives et de protéger mon estomac et mon foie. Du coup je fais aussi une cure de Bio curcuma 1100 ( 14€90 les 240).
Encore une fois, il s’agit de compléments végans Sunday Natural, sous forme de gélules.
Avec la maladie de Gilbert, je suis souvent très jaune car j’ai un taux de bilirubine élevé. Le curcuma permettant de réduire ce taux, ma peau retrouve doucement une teinte plus normale. D’ailleurs, ma prise de sang de la semaine dernière, montre que mon niveau de bilirubine est rentré dans la norme. Merci donc à ces compléments de curcuma, qui y ont certainement contribué.
Ce que j’apprécie tout particulièrement avec les gélules de Sunday Natural, c’est qu’elles arrivent dans des pots en verre. Ce qui est bien plus écologique que les habituels contenants en plastique.
Pour ce qui est du tarif, après comparaison avec d’autres enseignes, Sunday Natural est très compétitif. En plus, il est possible de prendre des packs de plusieurs mois, ce qui est plutôt avantageux.
La livraison reste très correcte, puisqu’il faut compter 4€90 pour une commande pour la France, sachant qu’elle est gratuite dès 79€ d’achat.
Le code FEESUNDAY te donne le droit à une réduction de 10% sur tout le site jusqu’au 18 avril 2021 ( hors coffret et non cumulable avec d’autres offres ).
Big nouvelle ! Un concours t’attend sur mon compte instagram, avec 2 lots à la clé. 2 personnes vont pouvoir remporter un lot de ces 2 compléments alimentaires. Fonce tenter ta chance !
Nouvelle aventure littéraire avec Liz Braswell aux commandes. Et comme pour les précédents livres de l’auteure, je compte bien te donner mon ressenti.
Petite récap’ pour ceux qui ne connaissent pas, » Il était un rêve » fait parti de la saga des Twisted Tale Disney. Ce qui signifie que l’on part d’une histoire Disney basique pour se retrouver avec une fin totalement différente. Comment est-ce possible ? Tout simplement car l’un des moments clés du récit est modifié.
Avec Il était un rêve, on plonge dans l’idylle amoureuse de la princesse Aurore, qui après s’être piqué le doigt, finit par être réveillée par le doux baiser de son prince charmant.
Sauf que dans cette version, le prince Philippe ne doit pas être si doué que ça pour embrasser, car la jeune fille ne se réveille absolument pas. Pire que ça, elle est prisonnière d’un songe orchestré de toutes pièces par Maléfique, qui a réussi à faire croire à la princesse que ses parents l’ont abandonné et qu’elle est la seule à vouloir son bonheur.
La sorcière parvient même à perçoider Aurore que le monde en dehors des murs du château, est complètement cauchemardesque et ravagé. Ce qui motive la jeune femme à ne jamais sortir.
Un point qui pour moi, montre jusqu’où Aurore peut être naïve. Elle qui est déjà une tête de linotte dans la version Disney, perdue dans ses pensées et son univers enchanteur, je trouve qu’elle n’a franchement pas beaucoup évoluée dans ce Twisted Tale. Ce qui est bien dommage. Elle gobe sans broncher tout ce que Maléfique lui dit, n’osant même pas aller questionner ses parents qu’elle sait être au cachot. Elle ne tente pas d’aller voir par elle-même ce qu’il en est à l’extérieur du palais, préférant juste rêvasser, dormir et danser.
Le » sexe faible » comme on dit bien souvent, n’est franchement pas mis en avant ici. Les clichés et stéréotypes sont trop présents, et même si l’auteure cherche à les démonter, personnellement j’ai le sentiment que c’est un échec.
Sans parler du prince, qui est prêt à tout pour sauver sa dulcinée, qu’il ne connaît pas plus que ça, mais dont il est aveuglément fou amoureux. Monsieur est juste en extase devant la beauté de la demoiselle, sans chercher à savoir ce qu’elle est réellement à l’intérieur. En gros, on reste dans le côté » soit belle et tais-toi« …
Le récit est assez décousu, je dirais même brouillon. On passe bien souvent d’une étape à l’autre sans trop de raisons, ce qui peut être perturbant.
Cette parodie de La Belle au bois dormant aurait mérité d’être plus poussée, plus recherchée. C’est plat, limite ennuyeux, sans âme ni émotion. Les personnages sont fades. Les dialogues ne vont pas plus loin que des discussions de cour de récré.
Bref… J’ai eu du mal à terminer le bouquin, devant me forcer pour arriver jusqu’à la dernière page. Je ne recommande vraiment pas Il était un rêve, encore moins si vous voulez débuter l’aventure Twisted Tale.
On reste donc aujourd’hui, dans du matos aquarellable, mais qui cette fois ci est sous la forme de crayons.
Il s’agit des crayons Inktense de chez Derwent.
La gamme est composée de 72 teintes, que l’on trouve soit en boîtes ( 12, 24, 36, 48 et 72) soit à l’unité ( environ 2€50 pièce ).
La particularité des Inktense réside, comme leur nom l’indique, dans le fait qu’ils sont à base d’encre, d’où leur aspect très pigmenté.
Les couleurs sont intenses, aussi bien lorsqu’on utilise les crayons à sec qu’une fois aquarellés ( même si elles révèlent tout leur potentiel surtout quand elles croisent de l’eau) . Elles sont vives, chatoyantes et accrochent le regard. Je regrette juste que les teintes INK ( Sépia Ink, Indian Ink, Chinese Ink, etc) soient si proches les unes des autres, rendant impossible tout dégradé entre elles.
Grâce à cette forte teneur en pigments, il n’est pas nécessaire de passer de nombreuses couches pour obtenir une belle couleur (économique et plus rapide) . Attention toute fois à ne pas se contenter d’une seule, ce qui ne serait pas suffisant …
La plupart des couleurs ont une forte résistance à la lumière, mais quelques teintes sont dîtes fugitives, ce qui signifie qu’elles risquent de s’effacer avec le temps ou de se modifier.
Les teintes sèchent très vite, ce qui est bien agréable, car cela évite aux couleurs de se mélanger et permet de superposer les couches, ainsi que d’ajouter par dessus d’autres techniques. Mais cela peut aussi être déroutant et sembler plus compliqué à travailler, car il faut faire preuve de rapidité lorsque l’on veut fondre les couleurs entre elles. Il vaut mieux donc travailler par petites surfaces ou préparer ses mélanges sur une palette.
Les mines sont solides et les crayons agréables à prendre en main. Par contre, je conseille vivement de réaliser un nuancier, car les teintes une fois sur le papier ne correspondent pas toujours à l’indication sur les crayons. Pas de problème pour les tailler.
Illustration tirée de Nice Little Town Christmas 2, réalisée aux Inktense, avec quelques touches de posca, aquarelle iridescente et de stylo gel pailleté
Personnellement, j’adore ce genre de crayons car c’est un chouette combo entre la peinture et le dessin. Deux techniques en 1. Les crayons aquarellables permettent de dessiner n’importe quoi, que ce soit un paysage, une nature morte ou un portrait. Il suffit juste d’ajouter un peu d’eau pour mélanger facilement les couleurs, et ainsi obtenir un sublime effet d’aquarelle ( ou comme ici, d’encre) .
Les crayons Inktense font partie de mes coups de cœur pour ce début d’année 2021!
Diamond Painting…. Des mots que tu as certainement dû entendre si tu aimes les loisirs créatifs.
Il s’agit d’une activité proche des numéros d’art, ces tableaux numérotés où chaque case porte un chiffre qui correspond à une couleur de peinture.
Là, c’est exactement le même principe. Tu as une toile avec une illustration décomposée en plusieurs cases numérotées ou identifiées par des symboles, qui te renvoient vers un petit diamant à coller. Rien de plus simple.
Voyons cela plus en détails.
J’ai pas mal tourné autour du pot avant de me lancer dans l’aventure Diamond Painting, regardant de nombreuses vidéos sur le sujet ( comme celles de Color Nella ou de Je peux pas j’ai diamond painting ). Je savais que j’adorais faire des numéros d’art étant môme et je me disais que je risquais fortement d’apprécier ce nouveau loisir. Bingo…. J’en suis déjà accro. Je vais t’expliquer pourquoi…
Tout d’abord, il m’a fallu me procurer une toile. C’est sur Amazon que j’ai décidé de passer commande. Les tarifs étant corrects, surtout que l’on en trouve en Prime, ce qui évite de payer des frais de livraison. J’ai laissé le choix à ma fille pour le modèle, sachant que ce Diamond Painting serait ensuite affiché dans sa chambre.
J’ai reçu la toile en 48h, dans un carton plat Amazon. Celle-ci était enroulée sur elle-même et glissée dans un sachet, avec différents accessoires.
La toile fait 30 X 40cm, ce qui donne une illustration de 25 X 35cm.
Il faut savoir que lorsque l’on achète un Dimaond Painting, il y a toujours la totale pour le réaliser. Du coup, même s’il s’agit de la toute première toile que l’on réalise, on a bien tout le matériel pour débuter. C’est un kit complet. Puis au fur et à mesure des toiles faites, on obtient une collection d’accessoires identiques ^^
Donc…. Avec la toile, j’ai reçu les diamants correspondants à mon illustration, soit 24 teintes différentes, ainsi qu’un plateau vert en plastique, un stylet, un carré de cire / gel rouge et des petits sachets à zip.
Comment faire son Diamond Painting ?
Dans un premier temps, il faut disposer la toile sous un poids pour bien la tendre. Par exemple, en posant dessus des livres durant quelques heures.
Ensuite, je te conseille de fixer ta toile avec du scotch de masquage sur un support que tu pourras facilement déplacer, car tu ne vas certainement pas faire ton tableau en une seule fois. De cette façon, en plus, elle ne bougera pas. Je fixe les miennes sur un carton à dessin.
Pendant que ta toile s’aplatit, il est pourtant que tu vérifies tes diamants. En effet, il arrive que malheureusement on ne reçoive pas toutes les teintes. J’ai de la chance, ça ne m’est encore jamais arrivé, mais je sais que cela peut se produire.
Sur les bords de la toile, ou sur une fiche reçue avec cette dernière, tu as un tableau. Celui-ci indique le numéro des sachets, le symbole ou chiffre correspondant et le DMC.
Cette dernière indication est particulière et importante, car il faut savoir que chaque teinte de diamant a une référence universelle. Le noir a toujours pour DMC la référence 310. Donc, s’il t’arrive de manquer de strass noirs lors de la réalisation d’une toile, tu peux utiliser le restant de noir d’une ancienne toile. Il te suffira de chercher les strass avec la référence 310, sans te soucier du numéro du sachet ou du symbole, qui va varier d’un tableau à un autre.
Bref. Il faut donc que tu vérifies que tu as bien le bon nombre de sachets différents ( ici, il me fallait 24 sachets ). Et qu’ils correspondent bien aux indications du tableau sur la toile ou la fiche.
Ensuite, pour ma part, je range de suite mes diamants. N’ayant pas encore reçu ma boite à compartiments qui me servira à stocker mes strass, pour le moment, j’utilise les petits sachets fournis avec ma toile ( à savoir que certains vendeurs n’en fournissent pas ou pas assez ). Je glisse toute une teinte de strass dans un sachet et j’y ajoute les indications les concernant que j’ai découpé du sac de départ. Comme ça, pas de problème pour identifier par la suite chaque couleur.
Soit je glisse tous mes sachets ainsi formés dans un plus grand sac de conservation, soit je les mets dans une petite boite ( sachant que comme il y a aussi la référence de la toile indiquée sur les sachets de strass , comme sur la toile en elle-même, je n’ai pas de soucis pour savoir avec quelle illustration ils vont).
Vient enfin l’étape de création!
La toile est recouverte soit d’une feuille transparente, soit d’un papier opaque, pour protéger celle-ci, car la toile est enduite d’une colle. Ce qui va permettre aux diamants de se coller directement sur celle-ci. Pas besoin d’y ajouter de colle soi-même.
Je te déconseille de retirer d’un coup cette feuille, puisqu’encore une fois, tu ne vas certainement pas faire ta toile d’un coup.
Il faut choisir une partie par laquelle on va commencer et soulever juste un peu la feuille pour avoir accès à un morceau de toile collante.
Pour cette première toile, j’ai décidé de commencer par le coin en bas à droite, puis de faire tout le bas et de monter petit à petit. Bien entendu, à chaque fois que je me suis stoppée dans ma réalisation, j’ai remis la feuille protectrice sur ma toile.
Désormais, je préfère commencer mes toiles par le haut et si comme celle-ci, la toile n’est pas trop grande, je dépose directement toute une teinte jusqu’à avoir recouvert tous les numéros d’une même couleur. C’est à l’appréciation de chacun…
Ensuite, il faut choisir le numéro / symbole par lequel on veut commencer et vérifier à quel sachet de strass il correspond. Sur cette photo, on constate que le point d’interrogation correspond au sachet 8.
On verse un peu de strass dans le plateau vert ( qui peut d’ailleurs être blanc ). On secoue la plaque délicatement pour que grâce aux rayures qu’elle contient, les diamants se mettent tous à plat, le côté bombé au-dessus.
Pour attraper facilement les diamants, il faut utiliser le stylet. Il y en a de différentes sortes. Avec un seul embout. Ou avec comme celui-ci ( voir photo du kit complet ), deux embouts. L’embout « simple » permet d’attraper 1 strass à la fois. L’embout blanc allongé permet d’en attraper plusieurs d’un coup, pour coller en une seule étape plusieurs strass. Ce qu’il vaut mieux faire lorsque l’on est déjà habitué à réaliser des Diamond Painting, car il est compliqué de retirer toute une ligne de strass si elle est mal positionnée. Perso je n’utilise que l’embout basique pour 1 seul diamant. C’est plus précis.
Pour que le strass tienne sur le stylet, il faut tremper celui-ci dans le carré rouge de gel ( pense à soulever la protection transparente ), pour qu’une petite dose de gel se mette dans la pointe du stylet.
Pour attraper un diamant, appuie la pointe du stylet contenant le gel sur la partie bombée d’un strass. Celui-ci va se coller au stylet.
Applique le diamant sur la case correspondant à son numéro / symbole. Pas besoin de trop appuyer, celui-ci va se décoller du stylet pour se coller sur la toile ( la colle de la toile étant plus forte que le gel sur le stylet ). Il vaut mieux lorsque l’on débute ne pas trop appuyer pour pouvoir au besoin, retirer facilement un strass mal placé.
Par moment il faut tremper à nouveau le stylet dans le gel, pour qu’il soit à nouveau assez collant pour attraper les diamants.
On applique au fur et à mesure les diamants sur la toile, tout en changeant de couleur lorsque c’est nécessaire.
Une fois la toile totalement recouverte de diamants, on recouvre celle-ci avec la feuille de protection et on dépose des livres ou autres objets lourds plusieurs heures dessus, pour aider les strass à bien se fixer.
Voilà…. La toile est terminée!
Il ne faut surtout pas couper les bords car celle-ci risque de s’effilocher. Par contre, tu peux l’encadrer. Pour la calavera j’ai utilisé un cadre de chez Action, à environ 4,50€. J’ai juste dû recouper un peu le carton noir qui était déjà dans le cadre, car mon illustration était plus grande que le trou du carton.
Comme je compte en faire beaucoup sans pour autant vouloir tout afficher, je vais conserver mes toiles dans un grand carton à dessin. Je pense même peut-être en offrir….
Comme tu as pu le comprendre rien qu’en lisant le titre de cet article, j’ai un véritable coup de cœur pour cette activité. Elle me passionne autant que le coloriage. Le Diamond Painting s’ajoute à la longue liste des activités classées dans l’art thérapie. Et pour cause! Sans y voir un côté thérapie / psy / maladie, c’est un passe-temps à la fois reposant et satisfaisant.
Je prends autant de plaisir à découvrir ma toile lorsque je la reçois, qu’à trier les diamants ou qu’à concevoir le motif.
Je m’émerveille devant les couleurs, qui suivant l’illustration peuvent être très brillantes et vives.
Je me détends , perdue dans mes pensées, avec juste un fond musical pendant que je colle mes strass. Ou je regarde en même temps une série Netflix ou une vidéo d’art thérapie sur You Tube.
La grosse différence avec le coloriage pour adulte, c’est qu’ici, il n’y a pas besoin de réfléchir. On ne cogite pas pour savoir quelle couleur appliquer ou quel matériel utiliser. Pas besoin non plus de métriser telle ou telle technique. On suit juste les numéros et on se relaxe.
Pour moi, cette activité complète à la perfection mon amour pour le dessin et le colo. Depuis que je fais du Diamond Painting, je jongle entre mes livres de coloriage et mes toiles.
J’ai du temps devant moi et l’esprit bien vif : je me plonge dans un colo de Klara Markova, plein de détails et de nuances à apporter….
Je suis un peu fatiguée, j’ai besoin de décompresser, ou il fait trop sombre pour bien travailler sur un dégradé : je m’apaise en collant mes petits diamants.
Et une fois ma toile terminée, je n’ai qu’une envie, c’est d’en débuter une nouvelle ^^ ( Je fais actuellement une toile Groot trouvée ICI pour mon mini nain, puis je vais réaliser une illustration de Bambi trouvée ICI. J’attends aussi des toiles achetées sur AliExpress ).
Pour un coupon de réduction chez AliExpress, laisse moi te marrainer ! Clique sur l’image ci-dessus.
Une activité qui d’ailleurs a réussi à conquérir le cœur de mes gremlins, puisque eux aussi s’éclatent en réalisant leurs Diamond Painting.
Je leur ai trouvé des petits kits chez Action, qui permettent de décorer de jolies cartes.
Il y a 4 boites différentes, à 1,84€ chacune.
Chaque boite contient 4 cartes ( qui s’ouvrent pour que l’on puisse inscrire un message dedans ) et 4 enveloppes, ainsi que les diamants et les accessoires nécessaires ( comme avec les toiles ).
Le Diamond Painting se situe sur le devant de la carte. On ne réalise pas toute la surface, juste une partie de l’illustration, comme par exemple, le perroquet ( mais pas les feuilles derrière lui ).
C’est simple, à un bon prix et on peut ensuite collectionner les cartes ou les offrir.