Tous les ans, le 31 décembre lors des 12 coups de minuit, comme tout le monde, je trouve de bonnes résolutions pour l’année à venir. Comme tout le monde, je les oublie rapidement…
Mais cette fois, je n’ai pas laissé tomber. Moi qui voulais depuis un grand moment faire du sport, histoire de me bouger un peu et surtout de perdre les derniers kilos de la grossesse de Petit Roi, j’ai enfin pris mon courage à deux mains et me suis inscrite dans une salle de fitness. J’ai même réussi à y traîner l’Homme, qui lui aussi avait quelques kilos de grossesse à perdre ( comme il disait, il les prenait pour être solidaire ).
Ne voulant pas d’une inscription avec abonnement, ce qui oblige à payer tous les mois même si on se lasse et abandonne ( fait vécu il y a plusieurs années ), j’ai cherché une salle où il était possible de payer à la séance.
Pas simple à trouver, mais au final, j’ai déniché la perle rare!
La salle Liberty Form ( à Marseille ), permet de faire du sport en toute liberté. Différentes formules sont proposées, le tout sans frais d’inscription ou de dossier. Il est possible de payer à la séance, pour 1 mois, 3 mois, 6 mois, 1 an, bref de faire en fonction de sa motivation et de son budget.
De plus, au départ seule une salle de cardio / musculation existait, mais courant septembre une salle de cours collectif va ouvrir.
Moi qui ne supporte pas trop de me mettre en jogging ou autre tenue de sport et qui craignait de me retrouver dans une salle avec des mecs super balaises et frimeurs ou des bimbos qui te donnent envie de te cacher dans un trou de souris, je suis vraiment ravie de l’ambiance qui y règne. Le patron est à l’écoute et donne de bons conseils aux débutants, et les clients, sportifs confirmés ou non, n’hésitent pas à expliquer le fonctionnement des machines aux petits nouveaux et à montrer comment bien se positionner. Pas de prise de tête, que de la bonne humeur!
Bref, je fais du sport et voyant que ça plait à Madame Balance, je compte bien continuer.
Mais tu me diras, ami lecteur, que tout ça c’est bien joli mais qu’il ne faudrait pas non plus oublier de gérer l’alimentation. Tu as tout à fait raison. D’où cet article !
J’aime cuisiner, gouter à tout et surtout, pendant les vacances, j’ai eu une méchante envie de makis….
Alors oui les makis et sushis étant à base de poisson, on pourrait se dire que tout va bien. Mais vu la quantité de riz qu’il y a dans ce plat, et la rapidité à laquelle je peux dévorer ses minis » bouchées » japonaises, il fallait que je trouve comment les alléger.
Chose faite!
Grâce au site Light to me , j’ai découvert le konjac, une tubercule originaire d’Asie. Avec celle-ci, on réalise des pâtes et du riz, très faibles en calories ( seulement une quinzaine de calories pour 100g ). Impeccable pour remplacer les féculents, lorsque l’on veut maigrir.
Ni une ni deux, j’ai foncé chez Paris Store le supermarché asiatique près de chez moi pour acheter du riz de konjac et des shiratakis ( vermicelles ). Si tu en cherches et que tu n’as pas ce genre de magasin dans ta ville, pas de problème, le konjac se trouvera dans le rayon diététique de ton supermarché habituel.
J’ai donc réalisé la recette de Light to me ( sans mettre du tout de riz ). Les nains ne se sont pas rendus compte que ce n’était pas des makis avec du véritable riz et tout le monde s’est bien régalé.
Quelques temps plus tard, j’ai décidé de cuisiner les shiratakis de konjac. Comme il me restait au congélateur des crevettes achetées pour les makis, je me suis lancée dans la préparation d’un wok de shiratakis aux crevettes et légumes croquants.
Rien de bien compliqué, ni de très long.
Pour faire cette recette, il te faudra :
– des carottes
– des shiratakis
– des crevettes
– des graines de sésame
– de la sauce soja
– du gari ( gingembre au vinaigre de riz )
– un oignon
En premier il va falloir rincer quelques minutes le konjac dans une casserole d’eau bouillante, puis l’égoutter.
Ensuite il faut éplucher les carottes et les couper en petits bâtonnets que l’on mettra à cuir dans un petit fond d’eau ( ou 2 cuillères d’huile d’olive ), dans un wok.
On ajoute l’oignon émincé et les crevettes décortiquées, puis un peu de sauce soja (quantité suivant les goûts de chacun ) et du gari ( personnellement comme j’adore ça, j’en mets pas mal ).
Quand les légumes commencent à être cuits ( mais toujours croquants ), on mélange à la préparation les shiratakis.
On laisse sur le feux encore 2 / 3 minutes, puis on sert en parsemant la poêlée de graines de sésame.