Tu la sens cette période de raclette et de fondue qui s’installe tout doucement ?
Ou cette envie de camembert chaud dans lequel ta tribu et toi, allez pouvoir tremper des morceaux de pain ( oups, on me dit dans l’oreillette qu’en temps de Covid, c’est défendu)?
Mais que faire lorsque l’on veut limiter sa consommation de lait ? Doit-on abandonner ces idées ? Faut-il bannir le bon vieux morceau de frometon de sa table ?
Que nenni ! Il y a une solution toute bête pour se faire plaisir sans pour autant renier ses convictions.
Invite donc Petit Véganne lors de ton prochain repas. C’est ce que perso, j’ai fait, et je dois reconnaître que ce mignon petit renard orangé, a su bien se tenir.
Qui se cache derrière Mister Fox?
Pour en savoir plus sur l’entreprise Petit Véganne, il faut suivre notre adorable renard jusqu’en Moselle, coin que je connais plutôt bien puisque j’y ai vécu 20 ans et que ma progéniture y est née.
En 2017, Anne Guth et Yannick Fosse décident de fonder Petit Véganne, dans l’optique de satisfaire le palais des végés, mais aussi des intolérants au lactose et de toutes les âmes aventurières prêtes à tenter l’expérience du végétal.
De fil en aiguille, d’un garage aménagé à un local plus pratique, l’entreprise s’est agrandie et compte désormais une dizaine de personnes à son bord.
Maître Renard ne vole plus le fromage du Corbeau ?
Plus besoin de tailler le bout de gras avec un corbeau… Notre cher ami à poils roux sait maintenant mettre ses pattes en cuisine ! En s’inspirant des fromageries basiques, il est parvenu à créer de délicieux fromages végétaux.
Ce qui distingue l’enseigne des marques que l’on trouve habituellement dans les magasins Bio, c’est l’affinage. En effet, les vromages de notre Mister Fox, sont fermentés puis affinés. Ici, le traditionnel caillé est remplacé par de la purée de noix de cajou ensemencée par des cultures et ferments d’affinage. Par la suite, les fromages végé sont salés à la main, pour finalement laisser le temps œuvrer.
L’un comme l’autre ont un aspect visuel bluffant. Ils ressemblent à s’y méprendre à des camemberts.
Niveau texture encore une fois, c’est une belle réussite. La croûte est parfaite et l’intérieur de ces fromages est fondant à souhait. C’est un pur plaisir de déguster un morceau de l’un comme de l’autre.
J’ai clairement apprécié les deux vromages, mais je dois reconnaître que mon coup de cœur va au Petit Alba. Je lui ai trouvé plus de goût. Un petit je ne sais quoi qui a su me charmer.
Je t’entends déjà me dire que ces fromages végé ne sont pas à la portée de tout le monde. Je te l’accorde, ils ont un certain coût. Mais soyons francs, ils ne sont absolument pas comparables avec leurs camarades plus basiques et fades que l’on trouve dans les magasins bio. Puis il faut prendre en compte qu’ils sont préparés avec des noix de cajou bio, provenant d’une filière équitable labélisée forest garden ( qui certifie des produits forestiers issus d’exploitations respectant la biodiversité et l’équité sociale).
Alors si tu n’as pas forcément les moyens de t’offrir régulièrement un fromage de l’enseigne, profite de jolies occasions pour t’en prendre un ou deux. Personnellement, je me dis que ça pourrait être sympa pour mon anniversaire le mois prochain.
Surtout que Petit Véganne propose aussi un Petit Bleu ( qui me fait de l’œil), un Petit Frais à L’ail, un Petit Frais au Curcuma et un Petit Frais Échalote et Ciboulette. Il y a donc du choix.
Je sais que nous approchons d’halloween, mais La Fourche dont je vais te parler, n’a rien à voir avec la fourche du diable ^^
Il s’agit d’une boutique en ligne de produits Bio de qualité.
On y trouve aussi bien des produits alimentaires, que des compléments, des cosmétiques, des produits pour bébé ou encore pour la maison.
Que l’on soit plutôt fan de produits végans ou sans gluten, ou que l’on préfère privilégier les produits français, venant du commerce équitable ou certifiés sans cruauté animale, on peut facilement dénicher ce qu’il nous faut. Il suffit d’aller dans l’onglet » Valeurs » pour sélectionner la catégorie adéquate.
La Fourche est une enseigne qui a à cœur de permettre à tout un chacun de pouvoir profiter d’une alimentation et vie saine. Pour cela, elle sélectionne des produits 100% bio, peu transformés, faits avec des ingrédients naturels, sans additifs et sans OGM.
Elle privilégie les marques et producteurs français, ou si cela n’est pas possible, les marques et producteurs de pays limitrophes de la France qui se fournissent localement en matières premières. Le tout en préférant les produits ayant une faible empreinte carbone et en encourageant le commerce équitable.
De beaux engagements, pour plus de respect de l’environnement et de notre bien-être.
Mais que puis-je commander chez La Fourche ?
De tout… Aussi bien des boîtes de légumes, de pâté, que des plats cuisinés, de la soupe, des huiles et vinaigres, des condiments, ou des céréales, de la pâte à tartiner, des confitures, du chocolat, du café, du lait, de la crème, du soda, des jus de fruits, du kombucha, de la bière….
Bref, il y a un large choix d’aliments.
Mais ce n’est pas tout !
Il y a aussi des produits d’hygiène ( shampoings, savons, tampons, dentifrices…), pour les nourrissons ( couches, lingettes, petits pots, lait infantile…), pour le jardin, pour les animaux ou même d’aromathérapie.
Ce qui me plaît beaucoup, c’est le fait que La Fourche propose aussi des produits en vrac, ainsi que des articles zéro déchet.
J’ai d’ailleurs acheté du sésame et des graines de courge en vrac, qui non seulement me revenaient bien moins cher au kilo que les mêmes produits en sachet, et qui en plus limitent les emballages plastiques.
Mais comment puis-je bénéficier des petits prix de La Fourche ?
Les prix réduits sont proposés aux abonnés La Fourche.
Le principe étant donc de prendre un abonnement d’un an ( 69,90€) à l’enseigne, ce qui va permettre à la marque de proposer des tarifs avantageux. En effet c’est ce côté donnant-donnant qui permet à La Fourche d’être viable, tout en permettant à sa communauté d’obtenir jusqu’à 50% de réduction ( du pouvoir d’achat contre de la fidélité) .
Il faut savoir que l’abonnement est bien vite rentabilisé. Pour ma part, j’ai économisé un peu plus de 13€ lors de ma première commande. Soit déjà 1/5 du prix de l’abonnement.
Et si finalement, au bout d’un an, tu n’avais pas fait assez d’économies pour rembourser ton adhésion, La Fourche s’engage à te rembourser la différence.
Pour que tu puisses te faire ta propre idée sur le concept, en cliquant ici, tu as 1 mois d’abonnement gratuit !
Gros point fort de La Fourche, qui prouve l’engagement et les valeurs de l’entreprise : pour 1 abonnement acheté, celle-ci offre 1 an d’abonnement à une personne à faibles revenus. C’est par ici que ça se passe !
Côté pratique en cette période de Covid, tu n’as pas besoin de perdre ton temps dans les magasins, puisque tu vas recevoir ta commande directement chez toi. Ou en point relais, si tu préfères.
À savoir que dès 39€ d’achat, la livraison t’est offerte.
Ma commande avec les tarifs auxquels j’ai eu chaque produit.
Ma commande :
Comme je te l’ai dit, j’ai donc réalisé 13€ d’économies. Ce qui n’est pas rien, car on le sait, le Bio ce n’est pas donné.
J’ai passé ma commande le 5 octobre et j’ai reçu celle-ci le 10. Une livraison très rapide et des produits bien emballés pour éviter la casse.
Même les bouchons des bouteilles ne risquaient pas de se dévisser, car ils étaient maintenus par du scotch kraft.
Les ingrédients en vrac étaient dans des sacs en papier, bien étiquetés.
Je vais pouvoir découvrir certains produits que jusque là je n’ai pas encore testé. Comme le faux-gras ( payé 3.02€ au lieu de 3.63€), qui m’intrigue depuis longtemps ( peut-être une idée sympa qui sera sur notre table de Noël, si là ça me plaît).
Ou encore le tofu tandoori ( payé 3.11€ au lieu de 3.89€ ).
La Fourche est donc une boutique en ligne Bio, qui va prendre soin de ta santé, de l’environnement, des familles dans le besoin, et de ton compte en banque.
D’ailleurs, pour que tu fasses encore plus d’économies, je t’offre un super code de réduction.
10€ de réduction sur ta première commande d’au moins 39€, avec le code MAMANFEE.
À l’heure où j’écris ces lignes, je viens tout juste de refermer le dernier tome des aventures de Karsaib.
Ce troisième volet toujours imaginé par D. Manakete et publié aux éditions Alexandra de Saint-Prix, nous replonge au cœur de Myste.
Nous y retrouvons la petite troupe des Wind-Edges, qui malheureusement, est recherchée morte ou vive.
Ils vont encore devoir surmonter bon nombre d’épreuves et surtout d’ennemis, ce qui ne sera pas évident, puisque je te le rappelle, le groupe a été séparé dans le tome 2.
Alors comment vont-ils gérer tout ça ?
Ils vont devoir une nouvelle fois faire preuve de beaucoup de courage et d’intelligence, pour parvenir à se retrouver et à déjouer les pièges mis sur leur route.
Entre la guerre des Taolans, une naissance chaotique, la tentative de sauvetage de Sammy, la douce folie d’Emmy et la traque d’un ennemi commun, nos héros n’ont clairement pas le temps de s’ennuyer.
Comme avec le tome 1 et le tome 2, les péripéties et rebondissements s’enchaînent, pour le plus grand plaisir du lecteur. Les coups bas et les trahisons sont nombreux, ce qui pousse à continuer la lecture sans attendre, en espérant que nos petits protégés s’en sortent.
Pas de mauvaise surprise, puisque le texte est comme toujours fluide et sait nous tenir en haleine. L’auteur a le chic pour glisser de l’action sans arrêt, ce qui est vraiment un bon point.
Personnellement, j’ai beaucoup apprécié la mise en avant du personnage d’Emmy. Il faut dire que c’est ma chouchoute depuis le début ^^ Je croise les doigts pour que dans la suite de ces aventures, elle prenne une place encore plus importante.
L’entrée en scène d’un nouveau protagoniste qui va légèrement semer le trouble entre Natasha et Karsaib, n’est pas pour me déplaire. Hormones, passion et petites querelles sont au rendez-vous.
Et comme à chaque fois, l’auteur parvient facilement à nous faire languir lors des pages finales. Nous laissant avec la tête pleine de questions et de magie.
Mon ami lecteur, je te conseille d’aller sur mon compte Instagram ! Car tu vas pouvoir tenter ta chance pour potentiellement remporter un exemplaire de ce tome 3 de Thennan ! Alors vite! Il ne faut pas perdre de temps !
J’ai un rêve…. Partir vivre au grand air, loin du stress permanent de la ville. M’éloigner de Marseille et retrouver les petits plaisirs simples de la campagne.
Je me vois dans une maison avec un étage, pas forcément trop grande, mais avec de belles pierres apparentes et surtout un petit bout de terrain pour pouvoir y faire un potager.
Le must, serait d’avoir quelques chèvres, des oies et des poules.
Pour une fille de la ville telle que moi, qui gamine détestait cette ambiance, c’est un grand changement de caractère. Mais j’en ai tellement besoin.
Cette nouvelle vision des choses, me pousse à faire d’autres choix que ceux que j’avais jusque là l’habitude de faire. J’évolue… Je m’intéresse… Je m’interroge…
Alors lorsque j’ai découvert l’enseignePoulehouse et que j’ai vu son slogan » L’œuf qui ne tue pas la poule « , j’ai de suite voulu en savoir plus. Ces mots m’intriguaient.
J’ai donc appris qu’une poule, qui normalement peut vivre jusqu’à 6 ans, a le malheur d’être bien souvent tuée au bout de 18 mois d’existence. Pourquoi? Parce que la pauvre ne donne plus autant d’œufs qu’avant. Elle n’est donc plus assez rentable….
On pourrait au moins penser que la malheureuse sera ensuite vendue pour être consommée, mais même pas. Celle-ci n’ayant pas une chair dite convenable pour ça.
C’est donc 50 million de poules pondeuses que l’on envoie à l’abattoir chaque année en France.
Un triste constat qui a donné une brillante idée à Fabien Sauleman, co-fondateur, avec Sébastien Neusch et Elodie Pellegrain, de la marque Poulehouse.
La démarche de Poulehouse est simple : ne pas abattre les poules dont le taux de ponte commence à baisser.
Mais comment ?
Poulehouse travaille avec des éleveurs bio qui se sont engagés à ne pas tuer leurs poules et à les laisser finir leurs jours dans la Maison Des Poules, une ferme qui sert de refuge aux volailles.
Cette maison de retraite pour les poules est située dans le Limousin. Là-bas, les ptites bêtes à plumes profitent du grand air et pondent à leur rythme, pour finir par mourir de mort naturelle.
Mais qui finance tout ça ?
Toi, moi, eux…. Bref… Le consommateur.
Une boîte de 6 œufs revient environ à 4 à 5€. Ce qui peut sembler énorme au départ, mais qui lorsque l’on y réfléchit un peu, est finalement logique. Tout d’abord cela permet de rémunérer correctement les éleveurs, puis d’être aux petits soins avec les poules de la ferme-refuge.
Ces demoiselles ont besoin d’être nourri, bichonnée, soignée, logée…. Tout cela a un coût.
Ce tarif peut faire tiquer, mais il faut se dire que grâce à ça, on sauve des poules. Ces chouettes volailles qui nous permettent de déguster de succulents œufs et de cuisiner des crêpes, gâteaux et autres douceurs.
Autre point fort de Poulehouse : le sexage in ovo.
Quesaco?
Cette technique permet de connaître le sexe du poussin dans l’œuf et par conséquent de ne couver que les femelles. Du coup, pas de broyage des poussins mâles qui viennent de naître.
Où trouver ces œufs ?
Au départ commercialisés seulement dans les biocoop, tu peux maintenant les dénicher chez Auchan, Monoprix, Carrefour, ou encore Franprix.
Et pour les gourmands, Poulehouse a lancé en février 2019, un gâteau qui ne tue pas la poule. C’est à dire un gâteau préparé avec les fameux œufs de l’enseigne.
Autre belle idée mise en place : la plateforme Adopte1poule.fr, sur laquelle tu peux adopter une poule pour lui éviter l’abattoir.
En gros, un concept novateur que je trouve tout simplement génial. Et qui je l’espère va se développer à plus grande échelle.
J’avoue que jusque là, je ne savais absolument pas qu’une poule dont la quantité de ponte diminuait, était dans la foulée tuée. C’est donc une belle idée que cette Maison Des Poules.
Par contre, il va falloir que beaucoup d’autres producteurs se joignent à l’enseigne, pour eux mêmes prendre position et décider de garder les poules jusqu’à leur fin. Car cette maison de retraite pour volatiles ne pourra pas accueillir toutes les poules à elle seule.
Perso, j’ai beau adorer les couleurs pâles et avoir envie d’en mettre dans mes colos, je ne me vois pas pour l’instant investir dans cette boîte. Peut être qu’un jour si je tombe sur une super offre, je succomberai. Mais pour le moment, j’ai préfère partir sur une autre option.
À 7€70 les 24 crayons ( frais de port gratuits) , je me suis dit que je ne risquais pas grand chose à commander les Marco. Au pire, s’ils ne me plaisaient pas, mes Gremlins pourraient les récupérer.
Ce qui finalement n’a pas et n’aura pas lieu. Car j’ai un gros coup de cœur pour ces crayons.
Pour commencer, il faut savoir que la gamme Marco pastel est déclinée en 3 formats :
12 crayons en boîte plastique
24 crayons en boîte plastique
24 crayons en boîte métallique
J’ai choisi de prendre les miens dans la boîte plastique pour 2 raisons : moitié prix de ceux en boîte métallique, et je savais que j’allais les mettre dans une trousse.
Il ne m’aura pas fallu bien longtemps pour les recevoir. 10 jours après la commande, ils étaient déjà chez moi. Joie ! Bonheur !
Ils sont arrivés dans une enveloppe matelassée, entourés d’une bonne couche de papier bulles. Pas de casse, pas de souci.
Ces crayons hexagonaux ne sont pas numérotés et n’ont pas de nom de couleur indiqué dessus. Autant la forme est top pour pouvoir bien maintenir le crayon, autant le second point est embêtant. Pour un côté plus pratique, j’ai moi-même numéroté chaque crayon en collant une étiquette, lorsque j’ai réalisé mon nuancier.
Nuancier qui d’ailleurs montre que les couleurs sont plutôt bien réparties et qu’il n’y a pas de doublon.
Les teintes sont vraiment très belles. Claires, évidemment. Les Marco sont bien pigmentés et fonctionnent tout aussi bien sur papier blanc que noir.
Niveau texture, ils sont assez gras et glissent facilement sur le papier. Ils se mélangent bien entre eux et donnent de jolis dégradés.
Pour ce qui est de les tailler, là encore tout va bien. Le bois ne s’abîme pas, ne se fissure pas.
Les Marco aux teintes pastelles sont donc de bons crayons à un tarif très compétitif, que je ne regrette pas d’avoir achetés. Je pense qu’ils vont faire des merveilles dans mon Twilight Garden de Maria Trolle. Ils vont ressortir sur les coloriages à fond noir.
Depuis combien d’années nous rabâche-t-on qu’il faut consommer du lait pour avoir des os solides ? Une idée qui est tellement encrée dans nos coutumes qu’encore aujourd’hui, lorsque je regarde les menus des cantines de mes gremlins, je constate avec tristesse qu’à chaque repas il est noté » produit laitier « .
D’ailleurs de nombreuses études démontrent que le lait n’aide en rien dans la lutte contre l’ostéoporose. Ce besoin d’en consommer autant n’est qu’une démarche industrielle, qui n’apporte ni bien être à nos corps, ni aux animaux. ( quelques infos sur le lait animal ICI , ICI, ICI, ou encore ICI.)
Personnellement, j’ai toujours eu du mal à digérer le lait de vache. C’est pourquoi je n’en bois absolument plus et n’en consomme que très rarement. Je prends de temps en temps des aliments au lait de chèvre / brebis ( par exemple, lorsque je m’autorise un petit bout du délicieux fromage de la ferme où nous parrainons des chèvres ou avec des yaourts ).
Du coup, je me tourne plus volontiers vers des laits végétaux et des faux-mages.
Une alternative toute aussi délicieuse, qui me permet de faire le plein de protéines.
Jusque là, il n’était pas évident de dénicher des fromages végans. Dans les supermarchés c’est même encore quasi mission impossible. Mais dans les magasins bio, cela devient doucement plus simple. Et différentes marques voient le jour. Bien entendu, pour le moment, le choix reste restreint. Il n’y a pas encore autant de sortes de fromages végé, qu’il peut en avoir au lait animal. Mais l’idée fait son petit bout de chemin et je suis certaine qu’au fur et à mesure, de nouvelles variétés seront proposées.
En découvrant la marque française Tomm’ Pousse, au travers de photos Instagram, j’ai eu de suite envie de voir de quoi il en retournait. Plusieurs échos positifs me mettant l’eau à la bouche, je me suis permise de contacter l’enseigne.
Peu de temps après, j’ai eu la joie de recevoir 3 fromages végétaux de leur gamme, que ma naine et moi-même avons pris plaisir à tester lors d’un petit déjeuner salé.
Qui est Tomm’ Pousse ?
C’est en 2016 qu’Emmanuel Joubert décide de lancer son entreprise artisanale Act On Eat, avec pour projet de concevoir des alternatives végétales aussi bonnes en bouche que pour la santé et l’environnement. Une chouette idée lorsque l’on pense au futur que l’on va laisser à notre progéniture….
Une petite entreprise qui a fait le choix d’utiliser des matières premières biologiques, venant pratiquement toutes du commerce équitable.
Les fromages Tomm’ Pousse :
La gamme des faux – mages Tomm’ Pousse est désormais constituée de 12 variétés différentes, allant du CamemVert, en passant par la Carrée aux fines herbes ou encore la Carrée aux baies roses et poivre Timiz ( de 6,90€ à 9,90€ l’unité ).
Ils sont réalisés à partir de noix de cajou bio et sont fermentés et affinés, comme le sont les fromages basiques.
Voyons donc ce que ma Lolita et moi en avons pensé…
Commençons avec ce que l’on découvre en premier, à savoir le packaging.
Pas de grosse boîte, juste une bande de carton recyclable qui entoure le fromage, lui-même emballé dans une couche de papier blanc. Sur cette bande cartonnée beige, on trouve sur un cercle coloré ( vert pour les CamemVerts et orange pour le Rouillé ) le logo Tomm’ Pousse, mais aussi différentes indications comme : le nom du fromage, le fait qu’il soit 100% végétal, son parfum, les mentions » fabriqué en Ile de France » et « AB », et sa composition ainsi que ses valeurs nutritionnelles.
On y apprend aussi que l’enseigne est présente sur les réseaux sociaux ( Twitter, Facebook et Instagram ).
Un look simple, sans chichi, qui me plaît assez car on ressent bien le côté nature / écolo / terroir. Pas besoin de plus pour mettre en valeur ces produits. Et avec mon penchant anti gaspi, je me demande si je ne vais pas d’ailleurs, récupérer les bandes de carton pour en faire des étiquettes pour mes pots de confiture. J’aime vraiment la couleur ^^
Maintenant, entrons dans le vif du sujet. Car j’entends d’ici ton ventre gargouiller !
A l’ouverture de chaque vromages, je m’aperçois qu’ils font vraiment illusion! Je suis certaine que si je les présentais sur un plateau de fromages, accompagnés de frometons classiques, sans rien dire à mes invités, ils n’y verraient que du feu.
Les CamemVerts font chacun 7 cm de diamètre et 120g. Le Rouillé fait 7 cm de diamètre et 150g. Ils sont donc plus petits que leurs concurrents au lait de vache. Mais personnellement, je préfère ça, puisque je n’en consomme que de temps en temps. Ca m’évite de les voir dépérir dans mon frigo. Au passage, mes vromages m’ont été livré le 12 09 20 et sont bons jusqu’au 07 10 20 pour le Rouillé et 09 10 20 pour les CamemVerts. J’ai de la marge.
Mais quel goût peuvent bien avoir ces fromages végé ?
Encore une fois je suis agréablement surprise, tout comme ma fille. Le CamemVert nature nous a bluffé. Que ce soit à l’odeur ou en bouche, il sent le camembert !
Le CamemVert à l’ail noir est fort sympathique. Cette saveur en plus est un réel atout lorsque l’on aime les fromages un peu plus relevés. L’ail est présente sans pour autant que ça en devienne écœurant.
Mon coup de cœur va au Rouillé. J’aime les fromages de caractère et crois moi, celui-ci en a. Rien qu’à l’odeur, tu sais que tu es en présence d’un vromage à la limite du munster. Un bon » qui pue » comme on l’appelle chez nous. Et avec un mari Lorrain et 3 gremlins originaires eux aussi de là-haut, je peux te dire que le munster qu’on a bien laissé murir avant de le déguster, ça nous connaît. C’est d’ailleurs le fromage préféré de ma fille. Et la demoiselle se joint haut la main à moi pour acclamer le Rouillé de chez Tomm’ Pousse. En plus, l’idée de lui associer du cumin comme on le fait avec du munster, est juste parfaite. Je plussoie !
Niveau texture, ça donne quoi ?
Les croûtes, encore une fois, donnent l’impression de manger des fromages traditionnels. Le seul petit bémol pour que l’illusion soit totale à mon goût , est en ce qui concerne l’intérieur. Je ne trouve pas tout à fait les mots pour expliquer mon sentiment…. La texture est légèrement différente de celle des fromages au lait animal. Peut être un peu plus mousseuse? Et encore ce n’est pas le bon terme…. Mais soyons clair, cela n’a absolument rien de dérangeant. A moins que tu ne sois du genre à adorer le fromage qui coule… Car j’ai fait le test de laisser mon CamemVert nature et mon Rouillé dehors un grand moment, et ils se sont maintenus. Pas de vromages qui dégoulinent ici.
En conclusion, je tire mon chapeau à Emmanuel Joubert et son équipe ! Moi qui voulais essayer l’alternative des fromages végétaux, je suis conquise. Et ma fille aussi, puisqu’elle m’a déjà demandé si elle pourrait désormais passer plutôt à des vromages qu’à des fromages au lait. Le goût, l’aspect, l’odeur, tout est réuni pour obtenir un pur plaisir lors de la dégustation. Le top pour limiter sa consommation de protéines animales ou pour franchir le cap d’une alimentation végé.
Cette aventure gustative, m’a mis des idées automnales en tête. Je me verrais bien essayer une tartiflette au Rouillé à l’estragon et au Riesling. Ou encore une petite courge farcie à la Carrée, avec des noix. Je suis aussi très intriguée par la texture que peut avoir le CamemSec…. Bref…. Les vromages Tomm’ Pousse me font cogiter et saliver ^^
Quoi? Que dis-tu? Tu aimerais bien toi aussi avoir la chance de croquer dans un de ces vromages si appétissants?
Bah ça tombe bien !
Avec Tomm’ Pousse, nous avons décidé de te faire gagner un lot de 3 fromages végétaux : 1 CamemVert + 1 Rouillé + 1 Carrée façon feta
On se retrouve aujourd’hui pour que je puisse te présenter mon livre de coloriage coup de cœur du moment. Et encore… Du moment ? Il y a fort à gagner qu’il restera longtemps en 1ère position.
Il faut dire que Klara Markova, l’illustratrice de cette petite merveille a un talent fou. Elle arrive sans difficulté à me faire voyage dans un monde de songes, où tout n’est que douceur et magie.
Cet univers où fées, elfes et animaux cohabitent, est inspiré par des forêts pleines de chênes qui entouraient la maison de son enfance. On ressent donc très bien que la jeune femme a voulu transmettre la beauté de ce lieu au travers de son travail.
Cela fait déjà 20 ans que Klara Markova réalise des peintures à l’huile, des albums de coloriage et des bijoux en argent, imprégnés de l’atmosphère des contes et de l’ambiance mystique qu’ils dégagent.
Actuellement, l’illustratrice a donné vie à 4 livres de colo : Magical Delights, Tenderful Enchantments, Fairy Miracles et Fairy Celebrations.
Tu l’auras compris grâce au titre de l’article, c’est sur ce dernier que mon choix s’est porté. Même si j’espère réussir un jour à tous les posséder, j’ai décidé de commencer ma collection K.M. avec celui-ci car certains coloriages présents dedans m’ont vraiment fait flasher.
Fairy Celebrations est un beau livre de 25 X 21 cm, avec couverture rigide et cartonnée, dans les tons verts. Il a été édité en 2018 et doit être commandé via Etsy ( j’en ai eu pour 37,50€ fdp compris, car il vient de République Tchèque ). Il comporte 112 pages, faites de papier ivoire bien épais et de qualité, ce qui permet d’utiliser tout aussi bien des crayons de couleurs, des feutres, de la peinture ou des colles pailletées, pour mettre en couleur les illustrations.
Rien qu’en posant les yeux sur la couverture, avec son titre en lettres dorées, on ne peut que tomber sous le charme. Tout cet ouvrage est aussi mignon et poétique que l’illustration de cette couverture. Des petites maisons arrondies, des champignons, des lucioles attendrissantes, des mini coccinelles, des fleurs, des papillons… Un côté enfantin qui personnellement m’apaise et me fait rêver.
Ce livre est comme une histoire que l’on pourrait raconter à ses bambins, bien installés au coin du feu.
En plus des fées et elfes, Klara Markova nous invite aussi à faire la connaissance d’adorables sirènes et de petits dragons gloutons. Elle a même eu la bonne idée d’ajouter des coloriages à thème, que je compte bien colorier lors des périodes en questions.
Pour ne rien gâcher, la jeune femme a préféré éviter de faire des pages recto-verso. Ce qui signifie que chaque page contient un coloriage d’un côté, puis une toute petite illustration sur l’autre face ( où l’on peut noter le matériel dont on s’est servi, la date, etc ). De cette façon, si vraiment la technique utilisée pour mettre en couleur les dessins, finissait par traverser, les illustrations ne risquent pas d’être abîmées.
Plusieurs surprises sont glissées dans le bouquin.
Tout d’abord, un marque-page de fée à mettre en couleur, puis un autocollant.
Ainsi que 2 illustrations où il faut ajouter une porte et un couvercle de coffre, à découper et ensuite coller, que l’on trouve à la fin du livre.
Ma première mise en couleur dans mon Fairy Celebrations ( crayons pastels, posca, peinture et colle pailletées, stylo gel, pastel sec )
C’est donc un ouvrage plein d’amour et de tendresse, dont les dessins ne manquent pas de détails, que l’on prend grandement plaisir à posséder, et qui peut aussi être un superbe cadeau à offrir à un être passionné et créatif.
On se retrouve aujourd’hui, ami lecteur, pour discuter d’une de mes passions. D’ailleurs si tu es là, à lire cet article, c’est que tu dois certainement la partager avec moi.
J’ai toujours été attirée par les loisirs créatifs et l’univers des beaux-arts. Je rêvais de devenir prof d’arts plastiques, ou de réaliser les décors pour des films et spectacles. Je me suis éclatée lorsqu’en 3ème j’ai effectué un stage comme décoratrice à l’opéra théâtre de Metz. Une expérience courte mais très sympa.
Bref… Tout ça pour dire qu’il était normal qu’adulte je continue à me plonger dans ce monde riche en couleurs.
Petite, je faisais d’énormes coloriages à 4 mains avec ma grand-mère. Maintenant, après avoir quelques temps délaissé mes crayons, je me remets de plus belle à colorier. Cela me permet de me vider l’esprit tout en calmant mon hyper activité engendrée par mes maladies.
Ayant des vues sur les livres de coloriage pour adulte de l’illustratrice et graphiste suédoise, Maria Trolle, je rêvais depuis assez longtemps de pouvoir m’en offrir un.
Mais je dois reconnaître que j’ai beaucoup hésité avant de finir par l’acheter. J’avais peur de ne pas être au niveau pour valoriser comme il se doit les dessins de la jeune femme. De gâcher l’album et de ne pas être capable de rendre justice au talent de l’artiste.
Finalement, j’ai tout de même cédé à la tentation. Et franchement, je suis ravie.
Mon coup de cœur est allé vers le livre Blomstermandala, aussi appelé Twilight Garden ou encore Botanische Tuin pour ma version. Il s’agit de son premier livre de coloriage, sorti en 2015.
J’adore l’atmosphère qui s’en dégage. On plonge dans un jardin plein de douceur, où de gentils animaux viennent nous rendre visite. Fleurs, papillons, oiseaux, renards, biches, c’est un univers enchanteur et poétique que Maria Trolle a créé. J’apprécie aussi beaucoup les pages à fonds noirs. C’est original et cela va permettre de faire ressortir encore plus les couleurs des coloriages.
Avec sa couverture rigide cartonnée, où des illustrations colorées contrastent à la perfection avec le fond noir, sa bordure dorée et ses pages en papier épais, cet album n’est pas un simple bouquin de coloriage. C’est un magnifique ouvrage dont personnellement je prends grand soin et dans lequel je compte bien passer des heures à m’appliquer.
J’ai d’ailleurs pour projet de collectionner les différents livres de Maria Trolle.
Pour conclure, mon ptit artiste en herbe, si tu veux te lancer dans la colorisation d’un monde fleuri et paisible, avec un livre de qualité, je te conseille de ne pas hésiter aussi longtemps que j’ai pu le faire. Surtout quand on sait qu’il n’est pas plus cher qu’un album Disney pour adulte, alors qu’il est d’un design bien supérieur.