Les Animaux Fantastiques 2 : totalement magique

Les Animaux Fantastiques 2 : totalement magique

Norbert Dragonneau alias Salem Cosplay, au Hero Festival

 

Hier j’ai eu la chance de pouvoir assister à l’avant première du deuxième opus des Animaux Fantastiques, à savoir Les crimes de Grindelwald, dont le réalisateur est David Yates ( qui a aussi réalisé le premier, ainsi que certains Harry Potter, mais aussi Tarzan ).


Pas de panique, je ne compte pas te spoiler le film, juste te donner à chaud mon ressenti.


En fan d’Harry Potter, que ce soit en livres ou sur écran, j’avais bien accroché avec Les Animaux Fantastiques 1.
Du coup, j’étais au taquet quand j’ai su que j’allais voir le second. Une vraie môme surexcitée toute la journée… 


Et je dois dire que je n’ai pas été déçue. 


Dès les premières scènes j’ai eu l’impression de retrouver de vieux amis. 


Norbert, Jacob, Queenie et Tina nous embarquent dans de nouvelles aventures, toujours ponctuées de séquences amusantes, contrastant avec l’univers sombre dans lequel on retrouve Grindelwald.
Les personnages ont évolué, et on en apprend plus non seulement sur ce qui leur est arrivé après le précédent film, mais aussi sur leur passé.


Passé qui est d’ailleurs le thème principal de cet épisode, puisque Croyance est à la recherche de ses origines. Mais je ne t’en dis pas plus…


En ce qui concerne les acteurs, rien à redire, ils incarnent tous à la perfection leurs rôles. Eddie Redmayne est toujours aussi doué pour paraître intimidé, réservé et mal à l’aise lorsqu’il est confronté à d’autres personnes. Alors qu’avec les créatures, il s’ouvre et arrive à extérioriser ses sentiments. Johnny Depp nous offre un Grindelwald calculateur, extrêmement persuasif, dans lequel on détecte quelques mimiques à la Jack Sparrow. Et Jude Law fait un jeune Dumbledore tout à fait convainquant. Mais pour moi, c’est Ezra Miller qui a le mieux permis à son personnage de << grandir >>. Croyance fait moins enfant apeuré, même s’il est toujours très torturé.


De nouveaux personnages apparaissent, comme Theseus, le frère de Norbert ou encore Leta Lestrange, ce qui ajoute des péripéties à l’intrigue. Ainsi que des créatures surprenantes, et / ou attachantes. Je regrette un peu que l’on ne voit pas plus longtemps les bébés Nifflers. Je les trouve si mimis.


Les décors et effets spéciaux sont grandioses, surtout en 3D. On en prend plein les yeux et cela dès les premières minutes du film.


Mais le must, c’est la fin. Cette fin ! Non mais quelle tuerie ! Comment mieux nous motiver à voir le troisième volet ?!

Sauf que pour le moment, celui-ci n’est prévu que vers 2020…

Vivement !


Daddy Cool, le père décalé de l’année

 

Daddy Cool, le père décalé de l'année

Mardi dernier, j’ai eu la chance d’être invitée par le cinéma Les 3 Palmes, a l’avant première du film Daddy Cool.

Même si le Chéri n’est pas trop film français, perso j’avais besoin de sortir un peu et de lâcher prise quelques heures.

La bande annonce promettant un bon moment de rigolade, j’ai motivé l’homme, collé les nains chez la voisine, sauté dans mes pompes et hop, direction le ciné.

Bref…

Daddy Cool, de Maxime Govare, nous plonge dans le quotidien un peu compliqué d’un couple en pleine séparation, mais qui doit continuer à vivre sous le même toit. Au désespoir de Maude ( Laurence Arné), qui ne supporte plus les fantaisies d’Adrien ( Vincent Elbaz), un grand ado de 40 ans.

Surtout depuis qu’il a décidé de monter une crèche à domicile dans leur appartement et de tenter de gérer des enfants à sa façon…

Je suis ravie d’avoir pu assister à cette avant première.

Je n’ai pas été déçue une seule seconde par ce film. Même le Chéri finalement a adoré.

L’ambiance parfois électrique, parfois tendre entre les protagonistes montre bien ce que peut donner une séparation dans de telles circonstances. Les vacheries, piques, et embrouilles sont au rendez vous.

Mais le must dans tout ça, c’est l’éducation faite par Adrien, une fois qu’il a monté sa crèche.

On voit de suite qu’il n’y connaît rien en gamin, allant jusqu’à mettre un masque pour changer une couche, ou utilisant les minots comme chiens de traîneaux lors d’une balade….

Pas une seconde de répit, pas un temps mort, on ne s’ennuie pas avec Daddy Cool.

Oublie Françoise Dolto si tu veux survivre pendant les vacances qui débutent.

Fonce voir le 1er novembre ce film, et applique les idées éducatives  d’Adrien !

Avec un rouleau de film étirable et quelques bonbons, tu devrais survivre…

 

Au passage : après le film nous avons pu rencontrer l’actrice vedette, ainsi que le réalisateur et l’acteur Jean-François Cayrey, qui nous ont assuré qu’aucun enfant n’avait été traumatisé durant le tournage ( du moins rien qu’un peu).