Don du sang : ma victoire face à l’anorexie

Gamine j’avais une peur bleue des aiguilles. Mais en grandissant, j’ai bien dû apprendre à gérer ça. Entre mon besoin de me faire tatouer et les différentes injection durant ma grossesse ou pour mes pathologies…

Du coup, j’avais en tête depuis bien longtemps de faire des dons du sang. Alors qu’à l’époque de ma phobie, j’étais certaine de n’en être absolument pas capable.

Malheureusement, suite à mon poids trop faible, il m’était tout simplement interdit de le faire.

Une frustration intense pour moi, tout comme une raison de plus de rejetter ce corps que je ne supporte pas.

Sauf que ce corps, petit à petit, il se modifie, puisque je reprends doucement du poids. Je ne l’aime pas plus pour autant, loin de là, car cette transformation est assez difficile à accepter. Mais enfin, il a pu m’aider à concrétiser ce projet qui me tenait tant à cœur.

Étant désormais tout juste à la limite minimum du poids nécessaire pour pouvoir faire ce don, j’ai eu l’immense joie de prendre rendez-vous auprès de la maison du don du sang de Marseille .

Je dois dire que lorsque j’ai dû sur place, répondre à quelques questions, j’ai eu peur que l’on me renvoie chez moi, sans avoir pu remplir la mission que je m’étais fixée.

Car il faut peser minimum 55kg, et que clairement je ne suis pas tout à fait à ce poids. J’oscille plus entre 53 et 54, atteignant les 55 que dans mes phases de crises d’endo belly.

Combiné à cela le fait que je suis régulièrement en anémie… Je ne partais pas gagnante…

Quel soulagement quand après m’avoir piqué le doigt, pour justement tester mon sang de façon à vérifier mon taux de globules, on m’a dit que tout était ok. Feu vert pour faire mon tout premier don de sang !

Une fierté énorme pour moi, d’avoir relevé ce challenge ! Je n’aime clairement pas les chiffres qui depuis un moment s’affichent sur la balance. Mais grâce à ça, j’ai peut-être pu aider / sauver quelqu’un. Une claque directement envoyée à Ana !

Après avoir fais don de mon lait maternel, j’ai pu faire un autre type de don!

Alors même si je sais que je ne suis pas prête d’être autorisée à donner du plasma ou des plaquettes ( entre autre parce que mes vaines sont bien trop fines et ne le supporteraient pas ), je me suis fixé pour objectif de maintenir ce poids, pour pouvoir renouveler cette merveilleuse expérience.

Comme tu peux le voir, les réserves de sang sont au plus bas ! Il faut des donneurs d’urgence ! Alors fonce ! Tu viens l’estomac plein, tu remplis un petit questionnaire, tu testes ton taux de globules et c’est partie ! Ça ne prend qu’une dizaine de minutes pour remplir une poche de ton sang et ça pourra sauver plusieurs vies !

Pour finir, tu as droit à une collation ( sandwich, biscuits, compote, jus de fruits, soda…).

N’hésite plus !

PouleHouse , la marque qui sauve les poules – Mon avis

J’ai un rêve…. Partir vivre au grand air, loin du stress permanent de la ville. M’éloigner de Marseille et retrouver les petits plaisirs simples de la campagne.

Je me vois dans une maison avec un étage, pas forcément trop grande, mais avec de belles pierres apparentes et surtout un petit bout de terrain pour pouvoir y faire un potager.

Le must, serait d’avoir quelques chèvres, des oies et des poules.

Pour une fille de la ville telle que moi, qui gamine détestait cette ambiance, c’est un grand changement de caractère. Mais j’en ai tellement besoin.

Cette nouvelle vision des choses, me pousse à faire d’autres choix que ceux que j’avais jusque là l’habitude de faire. J’évolue… Je m’intéresse… Je m’interroge…

PouleHouse , la marque qui sauve les poules - Mon avis

Alors lorsque j’ai découvert l’enseigne Poulehouse et que j’ai vu son slogan  » L’œuf qui ne tue pas la poule « , j’ai de suite voulu en savoir plus. Ces mots m’intriguaient.

J’ai donc appris qu’une poule, qui normalement peut vivre jusqu’à 6 ans, a le malheur d’être bien souvent tuée au bout de 18 mois d’existence. Pourquoi? Parce que la pauvre ne donne plus autant d’œufs qu’avant. Elle n’est donc plus assez rentable….

On pourrait au moins penser que la malheureuse sera ensuite vendue pour être consommée, mais même pas. Celle-ci n’ayant pas une chair dite convenable pour ça.

C’est donc 50 million de poules pondeuses que l’on envoie à l’abattoir chaque année en France.

Un triste constat qui a donné une brillante idée à Fabien Sauleman, co-fondateur, avec Sébastien Neusch et Elodie Pellegrain, de la marque Poulehouse.

PouleHouse , la marque qui sauve les poules - Mon avis

La démarche de Poulehouse est simple : ne pas abattre les poules dont le taux de ponte commence à baisser.

Mais comment ?

Poulehouse travaille avec des éleveurs bio qui se sont engagés à ne pas tuer leurs poules et à les laisser finir leurs jours dans la Maison Des Poules, une ferme qui sert de refuge aux volailles.

Cette maison de retraite pour les poules est située dans le Limousin. Là-bas, les ptites bêtes à plumes profitent du grand air et pondent à leur rythme, pour finir par mourir de mort naturelle.

PouleHouse , la marque qui sauve les poules - Mon avis

Mais qui finance tout ça ?

Toi, moi, eux…. Bref… Le consommateur.

Une boîte de 6 œufs revient environ à 4 à 5€. Ce qui peut sembler énorme au départ, mais qui lorsque l’on y réfléchit un peu, est finalement logique. Tout d’abord cela permet de rémunérer correctement les éleveurs, puis d’être aux petits soins avec les poules de la ferme-refuge.

Ces demoiselles ont besoin d’être nourri, bichonnée, soignée, logée…. Tout cela a un coût.

Ce tarif peut faire tiquer, mais il faut se dire que grâce à ça, on sauve des poules. Ces chouettes volailles qui nous permettent de déguster de succulents œufs et de cuisiner des crêpes, gâteaux et autres douceurs.

PouleHouse , la marque qui sauve les poules - Mon avis

Autre point fort de Poulehouse : le sexage in ovo.

Quesaco?

Cette technique permet de connaître le sexe du poussin dans l’œuf et par conséquent de ne couver que les femelles. Du coup, pas de broyage des poussins mâles qui viennent de naître.

Où trouver ces œufs ?

Au départ commercialisés seulement dans les biocoop, tu peux maintenant les dénicher chez Auchan, Monoprix, Carrefour, ou encore Franprix.

Clique ici pour avoir la liste des revendeurs.

Et pour les gourmands, Poulehouse a lancé en février 2019, un gâteau qui ne tue pas la poule. C’est à dire un gâteau préparé avec les fameux œufs de l’enseigne.

Autre belle idée mise en place : la plateforme Adopte1poule.fr, sur laquelle tu peux adopter une poule pour lui éviter l’abattoir.

PouleHouse , la marque qui sauve les poules - Mon avis

En gros, un concept novateur que je trouve tout simplement génial. Et qui je l’espère va se développer à plus grande échelle.

J’avoue que jusque là, je ne savais absolument pas qu’une poule dont la quantité de ponte diminuait, était dans la foulée tuée. C’est donc une belle idée que cette Maison Des Poules.

Par contre, il va falloir que beaucoup d’autres producteurs se joignent à l’enseigne, pour eux mêmes prendre position et décider de garder les poules jusqu’à leur fin. Car cette maison de retraite pour volatiles ne pourra pas accueillir toutes les poules à elle seule.

Tu veux voir la Maison Des Poules, c’est ICI .

Passion coloriage : l’univers de Maria Trolle

Passion coloriage : l'univers de Maria Trolle
Passion coloriage : l'univers de Maria Trolle

On se retrouve aujourd’hui, ami lecteur, pour discuter d’une de mes passions. D’ailleurs si tu es là, à lire cet article, c’est que tu dois certainement la partager avec moi.

J’ai toujours été attirée par les loisirs créatifs et l’univers des beaux-arts. Je rêvais de devenir prof d’arts plastiques, ou de réaliser les décors pour des films et spectacles. Je me suis éclatée lorsqu’en 3ème j’ai effectué un stage comme décoratrice à l’opéra théâtre de Metz. Une expérience courte mais très sympa.

Bref… Tout ça pour dire qu’il était normal qu’adulte je continue à me plonger dans ce monde riche en couleurs.

Petite, je faisais d’énormes coloriages à 4 mains avec ma grand-mère. Maintenant, après avoir quelques temps délaissé mes crayons, je me remets de plus belle à colorier. Cela me permet de me vider l’esprit tout en calmant mon hyper activité engendrée par mes maladies.

Passion coloriage : l'univers de Maria Trolle

Ayant des vues sur les livres de coloriage pour adulte de l’illustratrice et graphiste suédoise, Maria Trolle, je rêvais depuis assez longtemps de pouvoir m’en offrir un.

Mais je dois reconnaître que j’ai beaucoup hésité avant de finir par l’acheter. J’avais peur de ne pas être au niveau pour valoriser comme il se doit les dessins de la jeune femme. De gâcher l’album et de ne pas être capable de rendre justice au talent de l’artiste.

Finalement, j’ai tout de même cédé à la tentation. Et franchement, je suis ravie.

Mon coup de cœur est allé vers le livre Blomstermandala, aussi appelé Twilight Garden ou encore Botanische Tuin pour ma version. Il s’agit de son premier livre de coloriage, sorti en 2015.

J’adore l’atmosphère qui s’en dégage. On plonge dans un jardin plein de douceur, où de gentils animaux viennent nous rendre visite. Fleurs, papillons, oiseaux, renards, biches, c’est un univers enchanteur et poétique que Maria Trolle a créé. J’apprécie aussi beaucoup les pages à fonds noirs. C’est original et cela va permettre de faire ressortir encore plus les couleurs des coloriages.

Avec sa couverture rigide cartonnée, où des illustrations colorées contrastent à la perfection avec le fond noir, sa bordure dorée et ses pages en papier épais, cet album n’est pas un simple bouquin de coloriage. C’est un magnifique ouvrage dont personnellement je prends grand soin et dans lequel je compte bien passer des heures à m’appliquer.

J’ai d’ailleurs pour projet de collectionner les différents livres de Maria Trolle.

Pour conclure, mon ptit artiste en herbe, si tu veux te lancer dans la colorisation d’un monde fleuri et paisible, avec un livre de qualité, je te conseille de ne pas hésiter aussi longtemps que j’ai pu le faire. Surtout quand on sait qu’il n’est pas plus cher qu’un album Disney pour adulte, alors qu’il est d’un design bien supérieur.

Tu peux l’acheter sur Amazon pour 15,99€, en cliquant ICI .

Ne pars pas de suite ! Viens découvrir mes coloriages et mon matériel d’art thérapie sur mon nouveau compte Instagram : Colorsofxela .

Jolies fables pour être bienveillant avec soi

Jolies fables pour être bienveillant avec soi

Après avoir découvert l’univers de Serge Marquis au travers de son livre Le jour où je me suis aimé pour de vrai , c’est avec plaisir que j’ai pu m’apaiser en lisant ce nouvel ouvrage paru aux éditions Points.

Intitulé Petit traité de bienveillance envers soi-même, ce livre renferme différents textes, rédigés un peu comme des fables, mettant en scène des animaux.

Cette idée est plutôt sympa, car elle apporte un peu de légèreté à un sujet pas toujours simple à approcher ( il n’est pas forcément aisé de discuter de l’ego et de comprendre ce sujet ). Mais en plus, j’ai trouvé que cela rendait le texte plus fluide à lire, un peu dans l’esprit des contes. On sort totalement des récits un peu rébarbatifs de certains bouquins de développement personnel, où tout est bien trop scientifique et où il faut se creuser des heures la tête pour saisir ce que tente d’expliquer l’auteur.

Là, Serge Marquis, un peu dans l’esprit des fables de Jean De La Fontaine, nous fait réfléchir sur nous-mêmes, en nous permettant de nous identifier à ces animaux. On se reconnait aux travers de cette girafe mal dans sa peau qui veut se faire raccourcir le cou, ou de cette jument qui cherche tellement à obtenir de l’attention jusqu’à se laisser dépérir, et de cette tortue qui doit consulter car ayant peur de ne pas vivre 100 ans passe à côté de sa vie.

Chaque fable à sa propre « morale« , sa propre « clé » qui nous pousse à regarder de plus près certaines de nos réactions. Grace à cela, on se rend doucement compte que beaucoup de nos souffrance du quotidien viennent simplement de nos pensées. De notre façon de voir la vie et le monde qui nous entoure. Au lieu d’être dans le présent, nous cherchons à laisser une trace dans le futur, tout en nous focalisant sur notre passé. Nous voulons marquer les esprits et nous avons tellement peur de ne pas être assez bien, de ne pas être aimé et d’être rejeté.

Jolies fables pour être bienveillant avec soi

Serge Marquis nous montre une nouvelle fois, que notre ego est bien trop présent dans notre vie et qu’il faut que l’on parvienne à se détacher de lui, pour nous concentrer sur nous-mêmes.

Loin des ouvrages philosophiques et / ou psychologiques trop compliqués, Petit traité de bienveillance envers soi-même est bien plus accessible, plein d’humour et de clins d’œil à notre société.

De quoi se remettre en question dans la bonne humeur durant les vacances !

Jolies fables pour être bienveillant avec soi

Que dirais-tu, ami lecteur, de remporter un exemplaire de ce super bouquin?

Pour participer, il te faut :

Tu peux inviter autant de monde que tu le souhaites, sachant que 1 ami invité = 1 commentaire = 1 chance 

Le concours prendra fin le 31 juillet à minuit.

Concours ouvert à la France, Belgique et Suisse.

Bonne chance

Mon top 10 des jeux de société pour le confinement

Mon top 10 des jeux de société pour le confinement

Voilà déjà plusieurs semaines que tu es enfermé chez toi, à essayer de tuer le temps du mieux que tu le peux.

Niveau programme, tu commences à venir à bout des séries Netflix… Tu t’es déjà rematé 6 fois la trilogie des Retour Vers Le Futur, 11 fois les Jumanji et 9 fois tous les Pirates Des Caraïbes.

Question jeux vidéo, tu as fait une overdose de Switch et de PS4. Et tu as même été jusqu’à terminer les jeux retrogaming que tu gardes précieusement depuis ton enfance.

Ce livre oublié, qui te servait à caler ta table basse, a enfin eu la chance que tu le feuillettes, et les revues empilées dans un coin de ton salon ne te font pas envie ( faut dire qu’on pourrait croire qu’elles viennent de la salle d’attente de ton dentiste tellement elles sont vieilles ).

Alors si colorier avec ta progéniture ne t’inspire pas plus que ça, et que tu n’a plus le moindre sujet de conversation pour passer des heures au téléphone avec ta grande tante, il te reste l’alternative des jeux de société.

Mon top 10 des jeux de société pour le confinement

Voici donc mon top 10 des jeux qui vont t’occuper durant ce confinement :

Etape 1 : essayons de sauver le monde ! Ou au moins nos fesses !

Pandémie

Si ça ce n’est pas LE JEU du moment ?! Plusieurs maladies qui éclatent partout à travers le monde et que ton équipe de spécialistes ainsi que toi-même, devez au plus vite éradiquer. Un bon jeu de coop, qui n’est pas si simple que ce que l’on pourrait croire. ( Perso, j’ai la première version nommée Pandémie. Les nouvelles ont désormais le nom de Pandémic )

Kluster

Un jeu d’adresse auquel tu peux jouer en solo ou avec 3 potes, dans lequel tu vas devoir te débarrasser de tes pierres en premier. Le hic, c’est que celles-ci étant aimantées, elles vont très vite se coller aux autres pour former des kluster.

Escape

Marre d’être bloqué dans ton chez toi? Tu voudrais sortir? Comme ce n’est pas encore possible, tu n’as qu’à tenter de t’échapper avec tes coéquipiers de ce temple en train de s’écrouler. Un jeu d’ambiance en temps réel, bien stressant grâce au CD qui va te mettre la pression.

Mission pas possible

10 minutes ! C’est tout ce que tu as pour réussir ta mission. Seul ou à plusieurs, il va falloir faire preuve de sang froid et de concentration pour gérer le plus rapidement possible les combinaisons de dés de façon à désamorcer les bombes qui piègent la base. Le must, tu peux t’amuser à essayer de battre tes records via l’application à charger sur ton tel.

Zombie 15

Pas de pandémie, mais des hordes de zombies affamés qui te poursuivent dans tous les coins de la ville. Une ville fantôme d’ailleurs, aux allures d’apocalypse , que tu vas traverser pour remplir différents objectifs. Tes coéquipiers et toi, vous n’aurez que 15 mini minutes pour venir à bout de chaque scénario. Il va falloir trouver des armes, éviter de faire trop de bruit pour ne pas attirer plus de zombies, récupérer certains éléments, sans sursauter au moindre hurlement de ces morts vivants ( encore un jeu avec CD d’ambiance ). ( Ce jeu étant désormais en rupture, je te conseille de l’acheter en occasion sur okkazeo )

Magic Maze

Plus de PQ ? En manque de pâtes ? Avec Magic Maze tu vas pouvoir apprendre à dévaliser les rayons de la supérette de ton quartier ! Le tout en incarnant un barbare, une magicienne ou encore un nain et un elfe. Mais attention ! Les vigiles ne vont pas apprécier que tes amis et toi, vous veniez mettre le bazar dans le magasin. Avec ses 17 scénarios et ses 7 niveaux de difficulté, ce jeu de coop a de quoi t’occuper un grand moment.

Mon top 10 des jeux de société pour le confinement

Etape 2 : on met des couleurs dans sa vie

Azul

Ce jeu de stratégie très coloré va faire ressortir tes talents artistiques. Une belle mosaïque à réaliser pour embellir les murs du Palais Royal de Evora, tout en freinant tes adversaires qui cherchent à être de meilleurs artisans que toi.

Color cube sudoku

Confinement en solitaire ou besoin de te torturer les méninges installé tranquillement dans une pièce loin du reste de la tribu ? Ce mélange de Rubik’s Cube et de Sudoku est fait pour toi ! Un casse-tête avec des tas de combinaisons différentes pour des heures de réflexion.

Mon top 10 des jeux de société pour le confinement

Etape 3 : on ouvre ses chakras et on médite

Chakra

En cette période compliquée, c’est le moment de se recentrer et de se ressourcer. On respire, on se détend et on harmonise les gemmes pour obtenir la tranquillité intérieure. Tout en admirant les magnifiques illustrations de ce jeu stratégique.

Samsara

Pour atteindre le nirvana, il va falloir que tu parviennes au travers de tes différentes vie, à accumuler des amulettes d’éternité. Vivre, mourir, renaître… Ces nombreuses renaissances mêlées au principe du deck-building vont t’aider à éliminer le mauvais karma qui est en toi, pour laisser place à la plénitude.

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Être confinée avec Ana, l’enfer des TCA

Être confinée avec Ana, l'enfer des TCA

5 ans… 5 longues années déjà que je vis avec Ana. Cette peste qui s’est invitée un jour chez en moi et qui n’a plus voulu me quitter depuis.

En temps normal, avoir sans cesse cette petite voix qui résonne dans ma tête et m’empêche de vivre comme tout le monde, n’est pas une partie de plaisir.

Mais franchement, maintenant que l’on est tous en mode confinement, je peux dire que c’est encore plus l’enfer…

Par où commencer ?

Peut-être par la première réaction du commun des mortels lorsque l’on a appris que nous allions devoir nous confiner chez nous ? Qu’ont fait les gens ? Ils se sont rués dans les magasins pour faire des stocks.

Ok… Faut croire que les pâtes et le riz, c’est le top du top dans un tel cas. Les boîtes et les surgelés ne doivent pas bien se conserver….

Moi, mon problème à ce niveau là, c’est de savoir si je vais encore pouvoir m’alimenter…. Car cette petite voix dans ma tête refuse de me laisser manger n’importe quoi. Elle a ses critères. Et si ses goûts ne sont pas respectés, elle préfère me laisser littéralement mourir de faim que de me permettre de toucher à un ingrédient tabou. Oubliés les stocks de pâtes et autres féculents pour moi. Je n’ai droit qu’aux produits frais et encore… Seuls certains peuvent mettre un pied dans mon assiette.

Alors bien entendu, quand en plus je sais qu’il n’est pas possible d’aller faire des courses à des kilomètres de mon domicile, j’angoisse. Ouais… Trouver des courges kabocha et des sacs d’un kilo de gingembre mariné, à un prix correct, ce n’est pas possible partout. Pouvoir garder au congélateur des tonnes de fruits surgelés, ça n’est pas réalisable sur le long terme. Surtout lorsque comme moi, on se nourrit principalement de ça ( faut compter au moins : 1 sac de fruits rouges + 1/2 sac d’ananas + 1/2 à 1 courge par jour, ainsi que 1kg de gingembre en 5 jours). Sans parler des quantités astronomiques de salade verte, de carottes, d’oranges, de yaourts de soja et de lait végétal que j’avale en une semaine, ni les graines de courge et le gomasio. Voici la base de mon alimentation, ce qui me permet de tenir à peu près le coup malgré mon faible poids, et dont j’ai non stop besoin. Car malheureusement, ce n’est pas parce que nous sommes en confinement qu’Ana décide de se mettre sur pause. Ma maladie ne se modifie pas à volonté, se disant  » Tient ! Pour lui faciliter la vie en ce moment particulier, je vais accepter qu’elle fasse comme les autres et mange des kilos de pâtes et de patates« . Bah non… Ça serait trop simple.

D’où l’angoisse…. Vais-je encore pouvoir dénicher de quoi me nourrir ? Comment faire comprendre à un flic que si pour lui on peut vivre sans kabocha et que du coup on n’a pas besoin d’aller en chercher chez Paris Store, pour moi c’est une question de vie ou de mort ?

Grosse panique que d’essayer durant des jours, de passer une commande drive. À Marseille il faut compter sur très peu de supermarchés qui continuent à fournir ce service. Pour obtenir un créneau, il m’a fallu passer des heures et des heures durant 4 jours, à rafraîchir toutes les 10 minutes la page, pour réussir à faire une commande chez auchan ( sachant qu’en même temps j’essayais chez des concurrents). Ça m’a tellement stressée, qu’en plein milieu de la nuit, à 3h du matin, je tentais encore et encore d’obtenir un créneau. Sans avoir finalement tous les articles que je désirais, puisque d’une seconde à l’autre, ils n’étaient plus disponibles.

Un casse-tête pour tout un chacun ( qui au pire, décide de manger autre chose) , un calvaire pour moi quand je vois mes rations diminuer ( ne pouvant pas manger autre chose) . Plus mon frigo se vide, plus je me resteinds, pour ne pas terminer trop vite ce qu’il me reste….

Être confinée avec Ana, l'enfer des TCA

De fil en aiguille, plus je me resteinds, plus je perds de poids…

Parlons-en du poids…

Depuis qu’un doc m’a diagnostiquée comme souffrant de Sii et de dispepsie, je sais enfin pourquoi mon ventre gonfle sans arrêt. Ce qui jusque là était bien positif, puisque ça m’avait permis de comprendre que peu importe mon poids et les heures de muscu que je faisais, mon bide ne serait pas tout plat. J’avais donc oublié la balance ( et les enchaînements d’adbos).

Sauf qu’avec le confinement, cette chère Mme Pèse-personne m’est revenue en pleine face. Je focalise à nouveau sur les moindres grammes que je prends ou perds. Il faut dire qu’avec tous les messages que l’on voit fleurir en cette période sur le net pour pointer du doigt les femmes et l’allure qu’elles auront (ou pas) à la fin du confinement, ça n’aide vraiment pas à se sentir bien dans sa peau. Et pourtant, je le sais, j’ai de la marge à ce niveau là…. Si on en croit mon IMC, je suis maigre à la limite de la famine ( limite que j’avais déjà franchie il y a quelques années). Alors même si j’ai conscience que je ne vais pas devenir obèse durant le confinement et que j’ai de toute façon un besoin vital de prendre du poids, ce raisonnement ne parvient plus à faire taire Ana.

Sa soif de contrôle est accrue. S’en est obsédant. Incontrôlable justement, ce qui est pourrait-on croire, absurde.

Être enfermée lorsque l’on souffre de TCA c’est être mis en réelles difficultés. L’anorexie est aussi appelée maladie de la solitude. Et c’est exactement ce que l’on ressent dans cette situation. Même en étant entourée de ses proches. C’est encore plus compliqué que d’habitude de leur faire part du mal-être et du stress que tout ça engendre. C’est pourquoi on a tendance à vouloir encore plus qu’en temps normal, essayer de contrôler chaque instant de notre vie.

Le moindre geste que je fais, la moindre minute de ma journée, j’ai un besoin compulsif de pouvoir l’encadrer, le prévoir et le gérer moi même. Impossible de déléguer ni de lâcher prise.

Ce qui me pousse en plus à contrôler encore plus exagérément qu’à l’accoutumée ma dépense physique. Ce n’est plus seulement 20 000 pas par jour qui vont satisfaire cette saleté d’Ana. Mais 30 000 minimum. Et encore, arrivée à 30 000, elle trouve encore le moyen de me faire culpabiliser si je finis par m’asseoir un peu. Du coup, me revoici à marcher à longueur de journée. À tout faire debout. Gérer mon site, téléphoner, cuisiner, lire, m’occuper des devoirs des minots, coudre, regarder un film, faire un jeu de société … Je suis même capable d’écrire ou de colorier tout en marchant…

Les conséquences de toute cette hyper-activité, de ses angoisses et ce stress ?

Les insomnies….

Elles sont de retour. En force.

Je suis physiquement et mentalement épuisée, mais paradoxalement, je ne dors pas. Et ce n’est pas faute d’essayer de rester au lit.

Encore un cercle vicieux… Plus je ressens le besoin de garder le contrôle, plus j’angoisse. Plus j’angoisse, moins je mange. Moins je mange, plus je me fatigue. Plus je me fatigue, plus mon corps réagit et tire la sonnette d’alarme. Plus il réagit, plus je culpabilise. Plus je culpabilise, plus je me dépense et fais souffrir mon corps tout en diminuant mes fonctions vitales. Plus je me maltraite ainsi, moins je dors. Moins je dors, plus j’ai de temps pour ruminer et redémarrer ce cercle vicieux.

Tout ça en m’inquiétant pour mes proches… En stressant sur la potentielle reprise de l’école des enfants que l’on va jeter à l’abattoir d’ici peu.

Et sans réellement bien réaliser que ce faible poids qui est le mien, ce cœur qui bat au ralenti, ce corps qui souffre, sont autant de facteurs qui me rendent très vulnérable face au Covid-19.

Prévention coronavirus : masques en tissu maison

Prévention coronavirus : masques en tissu maison

En cette période très particulière, il faut absolument prendre des mesures pour se protéger. La première et la plus importante étant bien entendu de RESTER CHEZ SOI . Mesure que malheureusement trop peu de personnes ne prend au sérieux.

Ensuite, on le sait, il faut se laver régulièrement les mains, tousser dans son coude, ne pas se coller aux autres, etc…

Ici, nous n’avons pas mis le nez dehors depuis lundi dernier, jour où le Chéri avait dû aller récupérer ses affaires à son centre de formation et où nous avions foncé faire quelques courses ( en laissant les minots à la maison en mode zombies attirés par la télé ).

Cette dernière situation n’avait pas été simple, car rien n’était vraiment mis en place pour gérer les clients et protéger le personnel des magasins. Ce qui d’après les infos, semble avoir bien changé depuis ( ouf ! ).

Du coup, faute de gants en plastique et de masques chirurgicaux, le Chéri et moi-même avions mis nos gants d’hiver et nos foulards devant le visage.

Problème, les foulards avaient tendance à tomber sans arrêt.

Prévention coronavirus : masques en tissu maison

C’est pourquoi, ayant du temps à tuer, j’ai décidé de fabriquer pour toute la tribu, des masques en tissu.

Je sais très bien que ça n’a rien à voir avec de véritables masques d’hôpitaux, mais je me dis que ce sera déjà mieux que rien le jour où nous devrons sortir.

Au départ je comptais n’en faire que pour Vincent et moi, puisque les Gremlins n’ont rien à faire à l’extérieur. Mais dans le doute, comme on ne sait jamais ce qu’il peut se passer, j’en ai aussi préparé pour eux.

Prévention coronavirus : masques en tissu maison

Je me suis inspirée de cette vidéo. J’ai juste ajouté entre les deux couches de tissu une couche de polaire ( histoire de faire une potentielle barrière supplémentaire ) et faute d’avoir de l’élastique, j’ai utilisé les bretelles de vieux soutiens-gorge qui traînaient dans mon placard ( ouais parce que depuis que je suis atteinte d’anorexie, mes seins ont décidé de partir en vacances et ne sont jamais revenus ^^ lâcheurs ! ).

Prévention coronavirus : masques en tissu maison
Prévention coronavirus : masques en tissu maison

Alors même si ces masques ne sont franchement pas THE sécurité face au Covid-19, ils pourront peut-être nous permettre d’éviter un peu plus d’être infectés… ( Puis les nains allant louper carnaval à l’école, ça donne un style ! prochaine atelier : je fais des confettis ^^ )

Prévention coronavirus : masques en tissu maison

Sinon, y aussi l’option assommage du virus à coup de rouleau à pâtisserie et de spatule en bois, et big noyade avec du gel hydroalcoolique ^^

Au passage, si tu décides toi aussi de fabriquer des masques en tissu, n’oublies surtout pas de les passer en machine après chaque utilisation. C’est simple : tu sors en ayant ton masque sur la tronche, tu rentres, tu le jettes directement dans la machine et tu fonces te laver à fond les mimines !

Premiers pas dans l’univers des fodmap

Depuis 2015 je jongle tant bien que mal avec mes TCA. L’anorexie n’est franchement pas une partie de plaisir, mais je lutte au mieux pour m’en sortir.

Seulement pas évident de se voir telle que les autres me perçoive, quand le reflet dans le miroir me montre ce ventre proéminent. Ce fichu ventre qui me complexe tellement et dont j’ai régulièrement parlé à mes docs, sans que cela ne les interpelle plus que ça.

Pourtant, quand il décide de gonfler ( et de me gonfler ), il devient une véritable gène. Et pas que psychologiquement. Je me transforme en femme enceinte et suis certaine que je pourrai facilement gruger la file d’attente aux caisses ou encore récupérer une place assise dans le bus, lors de ces périodes là. Périodes qui depuis plus d’un an, sont devenues routinières. Un enfer quotidien, qui jour après jour me fais souffrir.

Car ce ventre, tel un énorme ballon, est aussi dur que du bois et très encombrant. Impossible de me plier en deux… Fortes douleurs dans le bas du ventre qui irradient jusque dans le dos, en passant par les reins. C’est à tel point que même sous les côtes et le thorax, je le sens pousser pour prendre encore plus de place. Trop de place. Bien trop de place.

Pour calmer cette douleur qui devient de plus en plus insupportable, j’ai tout essayé. Médicaments, huiles essentielles, bouillottes chaudes, bains brûlants, massages avec des huiles et/ou crèmes … Rien…. Pas moyen de contrecarrer le phénomène.

Certaines fois, la douleur a été si intense que je n’ai pas pu fermer l’œil de la nuit, ni stopper les larmes. Le Chéri a même voulu m’emmener à l’hôpital, ce que je n’ai pas tenu à faire.

Bien entendu, plus mon ventre gonfle, plus je me vois difforme, plus je me restreins niveau alimentation et plus j’augmente le sport. Ce qui finalement, ne résout rien, m’épuise d’avantage et me plonge tout doucement dans la déprime.

Alors que faire ? Comment arrêter cet engrenage infernal et retrouver une vie plus sereine ?

Mes médecins n’ayant pas l’air de vouloir m’aider ni de se préoccuper de ces détails, qui pour eux ne sont pas graves, j’ai pris le taureau par les cornes et j’ai agi seule.

Premiers pas dans l'univers des fodmap
Premiers pas dans l'univers des fodmap

Dans un premier temps, j’ai fait quelques recherches pour savoir à quoi pouvaient être liés ces symptômes. Bien souvent dans les livres et témoignages que j’ai lu, on parlait de soucis gynéco ou au niveau de la flore intestinale.

Suite à une consultation avec ma gygy, qui m’a expliqué que j’avais le ventre plein de gaz , j’ai décidé de prendre rendez-vous avec un gastro-entérologue.

Quelle bonne idée !

Premiers pas dans l'univers des fodmap

Il n’a pas fallu bien longtemps pour que l’on m’explique que je souffre du syndrome de l’intestin irritable et de dyspepsie. Les deux résultants certainement des mauvais traitements que j’ai infligé à mon corps via l’anorexie et ma mauvaise alimentation. J’ai tout simplement détruit mon microbiote et j’en paie les conséquences.

Faut dire qu’à n’avaler plus que des légumes et des fruits ( et encore que quelques uns ), mon corps à décidé de tirer la sonnette d’alarme. A savoir d’ailleurs, que beaucoup de personnes souffrant de TCA finissent par souffrir de SII .

Bref…

Après une écho, pas mal de questions et des prises de sang, c’est un petit bout de papier que l’on m’a remis, avec pour consigne d’éviter les aliments inscrits dessus.

Premiers pas dans l'univers des fodmap
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Ces aliments sont des FODMAP ( pour en savoir plus c’est ici ) et ont la fâcheuse manie d’irriter l’intestin et de déclencher différents symptômes comme ceux cités plus haut. Le plan étant donc de supprimer dans un premier temps ces FODMAP , puis de les réintégrer doucement à l’alimentation, les uns après les autres, pour voir comment on réagit.

Premiers pas dans l'univers des fodmap
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Tout le monde étant différent, il se peut que certaines personnes ne supporte absolument pas les glutens, alors que d’autres si. Ou encore que l’on parvienne à manger un peu de lactose sans souci, mais que passer une certaine dose cela provoque des douleurs. On y va donc petit peu par petit peu et on voit ce que l’on tolère ou non.

Cela fait plus de 15 jours que je suis une alimentation pauvre en FODMAP et je dois dire que j’en ressens déjà les bienfaits. Après la première semaine, mon ventre a retrouvé une allure normale. Partie la grosse boule qui me faisait tant souffrir. Je me lève le matin avec un ventre plat, qui certes, dans la journée peut un peu gonfler (mais rien de bien méchant comparé à cette dernière année ), mais qui ne me gène plus pour m’abaisser et ne me culpabilise plus comme avant.

Les douleurs elles aussi se font de plus en plus discrètes. J’apprends à les dompter et à les reconnaître. Je me rends doucement compte de ce que mon corps accepte ou non comme aliment. Par exemple, il y a quelques jours, je croquais dans un morceau de citron en mangeant mon poisson. J’ai rapidement ressenti une brûlure à l’estomac. Je n’ai pas cherché plus loin et j’ai laissé le reste de ma moitié de citron. Verdict : le jus passe bien, mais 1/2 citron tel quel, ça le fait moyen.

En même temps, je fais de plus petits repas. Le gastro ayant été très surpris de constater qu’alors que j’avais avalé juste un peu de potimarron à 7h la matin du rdv, mon estomac était totalement rempli à 11h passé lorsqu’il m’a fait l’écho.

Je sais désormais que je digère très lentement et que mon estomac étant petit, il vaut mieux que je limite les quantité en une seule prise.

Premiers pas dans l'univers des fodmap
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Toutes ces astuces et ce diagnostique m’aident énormément. Non seulement mon moral est en hausse puisque je souffre beaucoup moins et parviens à bouger plus facilement, mais j’ai envie de manger à nouveau plus d’aliment ( et donc de lutter contre Ana ). Car le mois dernier, j’en étais encore à manger plus d’une dizaine de pommes par jour ( ouais , je sais, c’est énorme ), de la salade, des champignons et du poireau. Maintenant, je suis bien obligée de réintroduire les protéines pour tenir le coup. Je parviens même à me faire quelques plaisirs, comme des crêpes à l’amarante, des frites de patate douce ou des crèmes végétales .

Voyant que ces aliments que j’ai bien trop longtemps oubliés ne me font pas de mal, mais au contraire du bien, cela me pousse à continuer mes efforts.

Je ne dis pas que c’est toujours hyper facile. Mais avoir enfin mis le doigt sur ce qui déclenche ces douleurs, ces remontées acides et cette fatigue chronique, avoir eu un diagnostique et être reconnue comme ayant un souci médical ( et non pas comme une affabulatrice ), ça me permet d’avancer.

J’ai même réussi à me faire un petit restau avec ma voisine il y a peu de temps. Et attention! Pas le genre de moment où je demande à ce que l’on ne me serve qu’une salade et un fromage blanc. Je me suis régalée d’une belle et copieuse assiette de seiches à la plancha, avec un peu de salade et de délicieuses frites maison ( 5 ans sans toucher à pomme de terre ! THE défi de la mort qui tue ! ). Après quoi j’ai opté pour une boule de sorbet citron et une boule de sorbet framboise. Un pur instant de plaisir.

Comme quoi, quand on déniche le doc qui connaît son métier et veut bien écouter ses patients, ça ne peut être que positif!

Je vais donc continuer sur ma lancée et éviter encore les aliments trop riches en FODMAP de ma liste. Puis lorsque le gastro me dira que ce sera le moment, je les testerai petit à petit pour savoir les doses qui me conviendront.

Astuce : pour savoir si tel ou tel aliment est riche ou pauvre en FODMAP , et avoir quelques idées de recettes, va sur Fodmapedia