Ce rêve bleu – Livre Disney Twisted Tale – Mon avis

Ce rêve bleu -  Livre Disney Twisted Tale - Mon avis

Première grande aventure pour moi dans l’univers remanié de Disney, avec les romans Twisted Tale.

Alors, si tu ne connais pas, le concept de Twisted Tale c’est de modifier un élément important des histoires classiques de Disney, pour qu’ensuite, cela faisant effet boule de neige, tous les événements se voient chamboulés à leur tour.

Un bon moyen de faire du neuf avec de l’ancien. Ce qui perso, n’est pas pour me déplaire, en grande mordue de Mickey et Cie, que je suis.

Ce rêve bleu -  Livre Disney Twisted Tale - Mon avis

Bref…

Avec Ce rêve bleu, de Liz Braswell ( éditions Hachette Héros ), tu t’en doutes, on retrouve le monde de l’intrépide Aladdin, et son idylle avec la magnifique princesse Jasmine.

Sauf que là, notre cher voleur au grand cœur ne va pas pouvoir obtenir l’aide du Génie bleuté pour faire de lui un prince. Car oui, Aladdin va bien foncer tout droit dans la gueule du tigre des sables et arpenter les couloirs de la caverne aux merveilles, mais il n’aura pas la chance de récupérer la lampe merveilleuse. Et comme tu le sais  » pas de bras, pas de chocolat« … Ou plutôt dans notre cas, « pas de lampe magique, pas de vœux« …

C’est donc dans ce contexte légèrement différent de la trame de base, que le jeune homme va devoir affronter Jafar. Ce qui bien entendu, ne va pas être une mince affaire, puisque celui-ci sera bien décidé à être sultan ( à la place du sultan : il doit être pote avec Iznogoud ) et à imposer ses règles à tout Agrabah.

Ce rêve bleu -  Livre Disney Twisted Tale - Mon avis

J’en pense quoi ?

L’idée d’une réécriture donnant un ptit coup de jeune à cette histoire qui vient de mon enfance, n’est pas pour me déplaire. Avoir une version alternative est sympathique et permet de se remémorer des souvenirs de môme tout en côtoyant l’attrait de la nouveauté.

Ce que j’ai le plus apprécié, c’est le fait de découvrir les personnages sous un nouveau jour. Aladdin n’est plus le héros de l’histoire, prêt à voler au secours de sa bien-aimée à chaque petit problème. Dans cette version, les femmes ont un plus grand rôle à jouer que dans la version classique. Car même si Disney avait un peu rendu Jasmine rebelle puisqu’elle refusait d’épouser n’importe quel prince qu’on lui avait mis sous le nez, elle n’en était pas moins ultra naïve.

Là, la jeune femme ainsi que d’autres protagonistes féminines, vont taper du poing sur la table, et faire valoir leurs idées.

On nous montre aussi plus le côté obscur d’Agrabah. Et pas seulement vis à vis de Jafar. Lorsque l’on regarde le dessin animé de Disney, on a de l’affection pour ce petit bonhomme rondouillard qu’est le sultan. Alors qu’en y réfléchissant bien, on peut voir ce qui se cache derrière lui. Pendant que le père de Jasmine s’amuse avec ses jouets, le peuple meurt de faim et la misère grandit dans les rues de la cité. C’est donc bien lui, le fautif au départ. C’est le sultan qui n’est pas capable de prêter attention à son peuple, préférant s’occuper de sa petite personne. Un côté plutôt estompé dans la première version.

Ce twist a un côté bien plus sombre que l’histoire habituelle de Disney. On y croise des morts vivants, tout en décryptant des allusions salaces. Ce rêve bleu s’adresse donc à un public moins jeune.

Jusque là, ce What if est plutôt cool, avec ses clins d’œil au dessin animé glissaient par-ci par-là. Mais ce qui m’a un peu freiné vient des premiers chapitres du livre. On reprend les péripéties du début du dessin animé bien trop tôt selon moi. Ou du moins trop en détail. Il faut avoir lu pratiquement 1/3 du bouquin pour voir un changement s’opérer. De quoi perdre en route pas mal de lecteurs qui espèrent rentrer vite dans le vif du sujet.

Autre petit point qui m’a dérangé, c’est l’utilisation du Génie. Déjà dans la version de Disney, j’avais le sentiment qu’il donnait beaucoup plus de sa personne que ce qu’il aurait dû. Il ne se contente pas de faire d’Aladdin un prince, en changeant son apparence et en lui refilant quelques piécettes. Il reste auprès de lui pour lui souffler quoi dire à la princesse et l’aider à conquérir son cœur, tout en en mettant plein les yeux à tout un chacun. On est bien loin du simple vœux réalisé, style la marraine de Cendrillon qui va simplement la relooker et lui imposer un couvre-feu.

Et bien dans ce twist, le Génie accompli encore plus de petits gestes à tout bout de champ. L’auteure tente bien de justifier ça vite fait dans un passage d’un chapitre, mais perso, je trouve ça mal ficelé. Ça ne prend pas.

Sans vouloir te spoiler, je reconnais que la fin m’a étonnée. Je ne m’y attendais pas, bien trop habituée aux petits oiseaux bleues qui gazouillent de Disney. Un bon point pour ce roman.

Ce qui du coup, me laisse un avis mitigé sur cette version alternative. J’adore le concept, mais je n’ai pas totalement adhéré avec la façon dont il a été travaillé ici.

Ce qui ne m’empêche pas d’avoir très envie de lire l’intrigue sur Ursula ( je suis fan de ce perso) ainsi que celle sur Elsa et sa frangine!

Ce rêve bleu -  Livre Disney Twisted Tale - Mon avis

NB : Heureusement que ce livre vient de la bibliothèque, car à 16€90, je trouve que ça ne le fait pas trop d’avoir des pages mal coupées ( donc trop grandes ) et du coup, toutes pliées….

Thennan tome 3, Les trésors draconiques – Mon avis + CONCOURS

Thennan tome 3, Les trésors draconiques - Mon avis

À l’heure où j’écris ces lignes, je viens tout juste de refermer le dernier tome des aventures de Karsaib.

Ce troisième volet toujours imaginé par D. Manakete et publié aux éditions Alexandra de Saint-Prix, nous replonge au cœur de Myste.

Thennan tome 3, Les trésors draconiques - Mon avis

Nous y retrouvons la petite troupe des Wind-Edges, qui malheureusement, est recherchée morte ou vive.

Ils vont encore devoir surmonter bon nombre d’épreuves et surtout d’ennemis, ce qui ne sera pas évident, puisque je te le rappelle, le groupe a été séparé dans le tome 2.

Alors comment vont-ils gérer tout ça ?

Ils vont devoir une nouvelle fois faire preuve de beaucoup de courage et d’intelligence, pour parvenir à se retrouver et à déjouer les pièges mis sur leur route.

Entre la guerre des Taolans, une naissance chaotique, la tentative de sauvetage de Sammy, la douce folie d’Emmy et la traque d’un ennemi commun, nos héros n’ont clairement pas le temps de s’ennuyer.

Thennan tome 3, Les trésors draconiques - Mon avis

Comme avec le tome 1 et le tome 2, les péripéties et rebondissements s’enchaînent, pour le plus grand plaisir du lecteur. Les coups bas et les trahisons sont nombreux, ce qui pousse à continuer la lecture sans attendre, en espérant que nos petits protégés s’en sortent.

Pas de mauvaise surprise, puisque le texte est comme toujours fluide et sait nous tenir en haleine. L’auteur a le chic pour glisser de l’action sans arrêt, ce qui est vraiment un bon point.

Personnellement, j’ai beaucoup apprécié la mise en avant du personnage d’Emmy. Il faut dire que c’est ma chouchoute depuis le début ^^ Je croise les doigts pour que dans la suite de ces aventures, elle prenne une place encore plus importante.

L’entrée en scène d’un nouveau protagoniste qui va légèrement semer le trouble entre Natasha et Karsaib, n’est pas pour me déplaire. Hormones, passion et petites querelles sont au rendez-vous.

Et comme à chaque fois, l’auteur parvient facilement à nous faire languir lors des pages finales. Nous laissant avec la tête pleine de questions et de magie.

Vivement le tome 4!

Pour acheter le tome 3 de Thennan, c’est ICI .

Thennan tome 3, Les trésors draconiques - Mon avis

Mon ami lecteur, je te conseille d’aller sur mon compte Instagram ! Car tu vas pouvoir tenter ta chance pour potentiellement remporter un exemplaire de ce tome 3 de Thennan ! Alors vite! Il ne faut pas perdre de temps !

Sobibor : ce livre qui m’a pris aux tripes

Sobibor : ce livre qui m'a pris aux tripes

Ce livre dont je vais te parler, ami lecteur, je l’ai eu entre les mains totalement par hasard.

Si tu as l’habitude de me suivre ici, tu connais mes maladies et plus particulièrement mon souci avec l’anorexie. Si tu viens d’arriver sur ce site, juste parce que tu voulais avoir des infos sur ce fameux bouquin, tu viens donc d’apprendre un point de ma personne, sans le vouloir ^^

Bref….

Tout ça pour t’expliquer comment j’ai découvert ce livre.

C’est une connaissance qui est désormais une amie, qui me l’a prêté. En effet, c’est parce que je me suis dévoilée à elle, lui expliquant mon quotidien et mes difficultés face à l’anorexie, qu’elle m’a proposé de me plonger dans ce roman. Pourquoi ? Bah parce qu’il y est justement question de cette pathologie.

Mais pas que !

Au travers de Sobibor, Jean Molla, écrivain ayant porté différentes casquettes ( prof de français, prof de guitare, apiculteur, guide dans un musée…. ) a décidé de nous renvoyer dans le passé, à l’époque de la Seconde Guerre Mondiale.

Dans ce récit poignant et extrêmement troublant ( et encore les mots sont bien trop faibles ), on suit la descente aux enfers d’Emma, jeune femme mal dans sa peau, qui tombe petit à petit dans l’anorexie et ne sait pas comment s’en sortir. Elle n’a plus goût à rien… Vient de rompre avec son petit copain… Et ne trouve pas sa place dans une famille aisée, où son père évite toute communication franche avec elle pendant que sa mère ne cesse de la diminuer.

C’est auprès de ces grands parents qu’Emma apprécie de passer du temps. Elle les aime plus que tout, eux qui sont si bons, doux et généreux. Malheureusement, sa grand-mère ( Anna de son prénom : est-ce un clin d’œil à l’anorexie fait par l’auteur ? ) décède, ce qui va pousser un peu plus la jeune femme dans ses mauvais penchants.

En triant les affaires de la défunte, Emma va trouver un journal intime ancien, ayant appartenu à Jacques Desroches, débutant le 20 janvier 1942 et faisant clairement référence à son «  nouvel emploi  » dans un camp d’extermination.

Ces deux êtres et ces deux vies mises en parallèles, vont s’avérer être reliées par un lourd secret de famille.

Ce récit à l’allure auto-biographique, ( mais qui n’en est pas une ), nous montre la froideur de ces monstres certains d’être d’une race supérieur, qui ont pensé que leurs crimes étaient normaux et même nécessaires. Pas de regrets, pas de compassion, pas de sentiments, juste la violence, la haine, le mensonge, dans leurs esprits.

Un livre qui m’a bouleversé et que je n’ai pas pu lâcher une fois commencé, malgré la dureté des deux sujets auxquels il fait référence, que je recommande de lire, pour ouvrir un peu plus les yeux sur cet période tragique et abominable.

D’ailleurs, à peine la dernière page tournée, je l’ai collé dans les mains de mon grand, pour que lui aussi, puisse se souvenir à tout jamais de ce que l’être humain peut faire. Pour ne jamais oublier ces innocents, qui ont subi tellement d’horreurs sans la moindre raison.

Jolies fables pour être bienveillant avec soi

Jolies fables pour être bienveillant avec soi

Après avoir découvert l’univers de Serge Marquis au travers de son livre Le jour où je me suis aimé pour de vrai , c’est avec plaisir que j’ai pu m’apaiser en lisant ce nouvel ouvrage paru aux éditions Points.

Intitulé Petit traité de bienveillance envers soi-même, ce livre renferme différents textes, rédigés un peu comme des fables, mettant en scène des animaux.

Cette idée est plutôt sympa, car elle apporte un peu de légèreté à un sujet pas toujours simple à approcher ( il n’est pas forcément aisé de discuter de l’ego et de comprendre ce sujet ). Mais en plus, j’ai trouvé que cela rendait le texte plus fluide à lire, un peu dans l’esprit des contes. On sort totalement des récits un peu rébarbatifs de certains bouquins de développement personnel, où tout est bien trop scientifique et où il faut se creuser des heures la tête pour saisir ce que tente d’expliquer l’auteur.

Là, Serge Marquis, un peu dans l’esprit des fables de Jean De La Fontaine, nous fait réfléchir sur nous-mêmes, en nous permettant de nous identifier à ces animaux. On se reconnait aux travers de cette girafe mal dans sa peau qui veut se faire raccourcir le cou, ou de cette jument qui cherche tellement à obtenir de l’attention jusqu’à se laisser dépérir, et de cette tortue qui doit consulter car ayant peur de ne pas vivre 100 ans passe à côté de sa vie.

Chaque fable à sa propre « morale« , sa propre « clé » qui nous pousse à regarder de plus près certaines de nos réactions. Grace à cela, on se rend doucement compte que beaucoup de nos souffrance du quotidien viennent simplement de nos pensées. De notre façon de voir la vie et le monde qui nous entoure. Au lieu d’être dans le présent, nous cherchons à laisser une trace dans le futur, tout en nous focalisant sur notre passé. Nous voulons marquer les esprits et nous avons tellement peur de ne pas être assez bien, de ne pas être aimé et d’être rejeté.

Jolies fables pour être bienveillant avec soi

Serge Marquis nous montre une nouvelle fois, que notre ego est bien trop présent dans notre vie et qu’il faut que l’on parvienne à se détacher de lui, pour nous concentrer sur nous-mêmes.

Loin des ouvrages philosophiques et / ou psychologiques trop compliqués, Petit traité de bienveillance envers soi-même est bien plus accessible, plein d’humour et de clins d’œil à notre société.

De quoi se remettre en question dans la bonne humeur durant les vacances !

Jolies fables pour être bienveillant avec soi

Que dirais-tu, ami lecteur, de remporter un exemplaire de ce super bouquin?

Pour participer, il te faut :

Tu peux inviter autant de monde que tu le souhaites, sachant que 1 ami invité = 1 commentaire = 1 chance 

Le concours prendra fin le 31 juillet à minuit.

Concours ouvert à la France, Belgique et Suisse.

Bonne chance

Ces livres dont les enfants sont les héros – Mumablue

Ces livres dont les enfants sont les héros - Mumablue

J’ai toujours rêvé de posséder la bibliothèque de la Bête. Tu sais, cette pièce immense, où Belle peut rester enfermée des heures à caresser les couvertures des livres. Je voudrais pouvoir grimper sur une échelle pour atteindre le bouquin qui me donne envie de partir à l’aventure.

Lire est très important pour moi. Et je tiens à passer cette passion à mes gremlins. C’est un si bon moyen de faire travailler l’imagination, mais aussi de découvrir le monde, tout en s’identifiant à un personnage.

Mes deux grands sont fans des bouquins. Ils en trimbalent partout avec eux. L’un est très romans fantastiques, l’autre à un gros penchant pour les mangas. Mais le ptit dernier a plus de mal. Il aime déchiffrer les affiches dans les rues, lire ce qui est noté sur les bouteilles ou emballages, décrypter quelques phrases par-ci par-là. Mais il ne tient pas encore bien avec un véritable livre ( à moins qu’il ne s’agisse d’infos sur les dinosaures, les égyptiens ou la mythologie ).

Ces livres dont les enfants sont les héros - Mumablue

Grâce à Mumablue, j’ai trouvé une astuce qui devrait beaucoup plaire à mon nain et le motiver à bouquiner.

Qui n’aurait pas envie de se plonger dans un univers dont on est le héro?! Qui ne voudrait pas absolument savoir ce qu’il va arriver à ce personnage qui n’est autre que soit même?!

Sur le site de Mumablue, en quelques clics et juste 5 minutes, j’ai pu personnaliser un livre pour enfant, que je compte glisser sous le sapin à Noël.

Plusieurs thèmes sont disponibles sous 5 livres différents. Ils ont la particularité d’aborder des sujets sensibles pour les enfants et de les aider à en parler. Chacun d’eux tourne autour de 3 valeurs, comme l’amitié, la loyauté, la modération, ou encore la confiance, le courage, la solidarité…. Un très bon moyen de leur permettre de surmonter les difficultés qu’ils peuvent rencontrer dans leur quotidien.

Le principe est simple : une fois le livre choisi, on entre le prénom de l’enfant à qui il sera destiné ( ou des 2 enfants , car l’une des histoires permet de donner vie à 2 héros ) et on sélectionne le sexe.

Ensuite, on peut créer l’illustration du personnage en modifiant la couleur et coupe des cheveux, la teinte et forme des yeux, la couleur du tee-shirt, le fait de porter ou non des lunettes / boucles d’oreilles / appareils auditifs, etc… En plus de choisir la couleur de peau, il est possible d’ajouter ou non des taches de rousseur. De quoi faire correspondre au mieux le dessin à la bouille de l’enfant.

L’étape suivante est le choix de la langue ( 12 différentes ), ainsi que la typographie.

Pour terminer, on peut ajouter une photo du minot et une petite dédicace.

Le fait de pouvoir personnaliser l’allure du personnage et d’ajouter une photo est vraiment sympa. C’est un plus par rapport à certaines autres enseignes qui proposent ce genre de produit. Et je parle en connaissance de cause, car mes deux premières gremlins ont eu étant petits des livres dont ils sont les héros, mais à l’époque je n’avais pu que personnaliser les prénoms et mettre une dédicace.

Là, ça permet au nain d’encore plus se prendre au jeu.

J’ai aussi été agréable surprise par la qualité du bouquin, qui a une relieur cartonnée bien épaisse et des pages légèrement rigides qui craignent moins les déchirures à force de manipulations peu délicates. Les illustrations sont bien vives et très jolies, avec des personnages très mignons ( un côté kawaii avec leurs gros yeux ).

Pour ce qui est de l’histoire, celle que j’ai choisi, Aventures en Alaska, est rédigée dans un style fluide et largement compréhensible par les enfants, tout en abordant les thèmes de l’intimidation et du manque de confiance en soi. Des sujets pas toujours évident à expliquer aux gamins, qui là, sont clairement développés avec humour et bienveillance.

A la fin de l’histoire, on trouve quelques précisions sur le lieu et les animaux présents dans le livre , ainsi qu’un jeu.

La dernière page est celle où l’enfant va pouvoir découvrir sa bouille en photo et la petite dédicace qu’on lui a laissé. J’aime particulièrement l’attention portée à cette partie, avec la plume et le carnet. C’est très beau.

Une chouette idée de cadeau de Noël, d’anniversaire, de rentrée ou autre ! Surtout qu’avec le code ALEX15, tu as 15% de remise sur le site.

La renaissance de Sirena

Il y a de ces romans dont tu sais d’instinct qu’ils vont te captiver. La couverture, le thème, le résumé, les premières lignes… Tu ne peux pas les reposer. Tu ne veux pas les lâcher.

C’est exactement ce qu’il vient de m’arriver avec Les âmes pirates de JK Gras.

C’est au Hero Festival que j’ai eu l’occasion de rencontrer la charmante auteure marseillaise. Seulement quelques mots échangés et j’ai déjà envie d’en savoir plus sur son travail. Son univers me parle, plus particulièrement l’originalité dont à l’air de faire preuve l’un de ses livres.

Il ne m’en a pas fallu plus pour la recontacter, sitôt le festival terminé, dans l’espoir de pouvoir le lire.

Je la remercie donc de m’avoir fait confiance et je la félicite 1000 fois ! En 24h, j’ai dévoré cette aventure tragique, féministe et bouleversante, avec une pointe d’érotisme pour pimenter le tout.

Les âmes pirates, c’est la  » rencontre » de deux mondes. Le choc entre la richesse et la pauvreté. Mais aussi la confrontation du  » sexe faible » et du « sexe fort« .

Tout commence lorsque Florence des Acres, une jeune noble française qui doit épouser un homme plus âgé qu’elle, est kidnappée par Steven Kelly, pirate irlandais qui ne jure que par l’argent et le rhum.

Une véritable descente aux enfers pour la demoiselle, qui va connaître violence, humiliation, faim, soif, injures, haine et peur.

Ce roman invite à réfléchir sur la condition des femmes à l’époque de la piraterie, mais fait aussi écho à la situation actuelle. Même si les choses ont heureusement évoluées, il faut reconnaître que notre société ne met pas toujours femmes et hommes sur le même piédestal.

Mais revenons en au livre.

Florence, suite à son enlèvement, va voir le monde qui l’entoure sous un autre jour. Au travers de souvenirs, elle va petit à petit se rendre compte que sous le prétexte d’être nobles, sa mère ne l’a éduqué que dans le but de devenir une parfaite petite épouse docile. Soit belle et tais-toi….

Une éducation bien différente de celle de son frère, qui en tant que mâle héritier, a eu le droit à bien des libertés, contrairement aux jeunes femmes de la famille.

Considérée comme une moins que rien par les pirates, elle est trimballée dans des lieux sordides et exhibée telle une catin. Prostitution, alcool et soumission entrent de façon fracassante dans son quotidien.

Elle qui avait connu l’amour et les plaisirs du libertinage, comprend que pour la plupart des hommes, les femmes ne sont que des objets. Plus particulièrement pour les pirates qui les utilisent puis les abandonnent, en brisant à la fois leur âme, leur dignité et leurs rêves.

Malgré son malheur et le calvaire que le capitaine Kelly et ses compagnons vont lui faire subir, Florence va commencer à s’affranchir et à se rebeller. Elle va se battre pour ne pas se laisser dévaster et casser par ces hommes ni par cette société moralisatrice dans laquelle elle a grandi.

Un bouquin où se mélange l’histoire de Florence surnommée Sirena, à de véritables faits historiques, pour mieux nous plonger dans l’univers de la piraterie et de l’esclavage.

L’intrigue est tellement accrocheuse et le récit si fluide que j’avais besoin d’avancer sans m’arrêter dans ma lecture, pour en savoir plus sur l’avenir de l’héroïne. Qu’allait elle devenir ? Allait elle survivre ? Mourir ?

Et franchement, cette fin, je ne la voyais pas venir ! Un sacré pied de nez aux fins habituelles, bien trop à l’eau de rose ! Juste géniale !

Les âmes pirates est une petite pépite bien loin des aventures de Jack Sparrow, qui fait travailler les méninges sur des sujets parfois trop vite dissimulés et oubliés .

Une idée de cadeau de Noël pour ceux qui aiment la mer, les pirates et la réflexion !

D’ailleurs, sache ami lecteur que tu peux tenter ta chance pour peut-être remporter 1 exemplaire dédicacé, grâce au concours qui se déroule sur mon compte Instagram !

Imaginary Rebirth 2 , que donne la suite de cette fabuleuse aventure ?

Il m’aura fallu un petit moment avant de me plonger dans la suite de Imaginary Rebirth, dont le premier tome intitulé Ordre, m’avait captivé en quelques pages. Trop de livres en stock à lire, un cerveau qui a tendance a bien vite être dissipé depuis quelques temps, des envies de grand air, une vie à 100 à l’heure…. Bref, ce bouquin patientait gentiment dans ma bibliothèque, attendant que je ne daigne enfin lui apporter toute l’attention qu’il méritait.

Alexandre Sanchez, avec ce second tome nommé Terre, a encore réussi à me faire voyager dans un autre monde. ou plutôt dans plusieurs autres mondes et univers parallèles.

J’ai pris plaisir à retrouver toute la petite bande du précédant tome, qui d’ailleurs s’est agrandie, puisque désormais elle compte dans ses rangs une jeune Wyvern du nom de Magicka. Un personnage fort sympathique et attachant, qui va devoir apprendre les habitudes et modes de vie de ses camarades, tout en découvrant des paysages et êtres dont il ne soupçonnait même pas l’existence jusque là. Magicka m’a fait l’effet d’une enfant curieuse de tout, un peu survoltée parfois, qui cherche à ingurgiter un maximum d’informations sans pour autant être toujours capable de les comprendre. Ce qui bien évidemment va de temps en temps la mettre en fâcheuse posture ( surtout lorsqu’on s’amuse à l’arroser ^^ ).

La petite troupe cherchant toujours un remède pour contrer et stopper le Nexus, maladie destructrice qui ne doit surtout pas se propager, se retrouve a passer de portails en portails, visitant différentes dimensions et croisant le chemin de peuples étranges. Un petit côté Matrix qui fait son effet….

Je me suis prise au jeu et me suis facilement plongée dans l’imaginaire de l’auteur, me représentant par exemple mentalement le Coeur d’Orion, une jungle dont il n’est pas évident de sortir vivant. Pas de soucis pour m’ imprégner de l’atmosphère qu’Alexandre Sanchez a très bien su dépeindre au fil des pages. Le jeune homme n’est pas avare de détails, ce qui permet de réellement s’immerger dans le roman.

Encore une fois, le récit est bourré de rebondissements et arrive parfaitement à tenir le lecteur en haleine. J’ai souffert avec Tobias, me suis battue aux côtés de Jahred et me suis demandée pourquoi on s’en prenait ainsi à Eleanor.

De nouveaux protagonistes font leur entrée, laissant planer un peu plus le mystère sur les Staÿlis.

Magie, secrets, ambition, noirceur…. Tout est réuni pour donner envie de dévorer ce second tome et de pousser l’aventure toujours plus loin.

95 Degrés, le magazine de la cuisine vapeur

Cuisiner au Vitaliseur est un réel plaisir pour moi et pour tous ceux qui sont tombés sous le charme de cet ustensile. Mais il n’est pas toujours évident lorsque l’on débute avec son Grand Chef ou son Petit Robinson, de le maîtriser à la perfection .

La cuisson à la vapeur douce est particulière et ne demande pas le même temps que lors d’un passage au four ou à la poêle.

95 Degrés, le magazine de la cuisine vapeur
95 Degrés, le magazine de la cuisine vapeur

C’est pourquoi, personnellement, je suis abonnée au magazine 95 Degrés.

Si tu as acheté un Vitaliseur dernièrement, tu as certainement dû avoir dans ton colis, un numéro de base, t’expliquant les grandes lignes de la cuisson à la vapeur douce.

Ce magazine, lancé par Marion Kaplan, la créatrice du Vitaliseur, est une source d’inspiration.

95 Degrés, le magazine de la cuisine vapeur

Non seulement il regorge de recettes healthy en tout genre, mais en plus il est plein d’infos sur différents ingrédients utilisés dans celles-ci. Sans oublier les articles santé, avec des conseils pour gérer son alimentation dans le respect de son corps et de sa digestion, ainsi que des interviews passionnantes.

Avoir un exemplaire en main de 95 Degrés, c’est baver devant les photos de plats plus alléchants les uns que les autres, et n’avoir qu’une envie : se ruer vers sa cuisine. Sylvain Thiollier a le chic pour nous tenter au travers de ses photographies si colorées ( il ne manque que l’odeur ).

Chaque numéro est basé sur un thème et regroupe donc des recettes ( classées dans un index, au début du magazine, ce qui est bien pratique pour s’y retrouver ) mettant en avant celui-ci. Le dernier en date, le numéro 22 , est consacré à l’iode. Je t’invite à aller jeter un coup d’œil par ici pour en savoir un peu plus.

Les recettes présentes dans les différents numéros, sont parfois réalisées par de grands Chefs, parfois par des blogueuses. J’ai d’ailleurs eu la chance de pouvoir participer à quelques magazines, comme celui sur les cakes et celui sur les salades. J’ai aussi contribué au prochain numéro qui sortira bientôt.

Toutes les idées que tu peux piocher dans 95 Degrés sont sans gluten et peuvent aussi être veggie, sans lactose ou encore paléo, et toujours pleines de saveurs. Tout est bien expliqué pour ne pas galérer lors de la préparation ( liste des ingrédients, type de recette, niveau de complexité, nombre de convives ). Des astuces sont même parfois ajoutées.

95 Degrés, le magazine de la cuisine vapeur

95 Degrés est prévu pour que l’on puisse facilement prendre en main son Vitaliseur et ne plus le lâcher. Indications pour le temps de cuisson des aliments… Comment bien entretenir son Vitaliseur… Les bienfaits d’une cuisson ne dépassant pas les 95°…

Un magazine bimestriel, vendu 48€ pour 1 an, avec une bonne centaine de pages ( et la possibilité d’accéder au site privé, avec des vidéos et autres recettes ).

Tu peux même l’offrir !

Un voyage au cœur de l’alimentation saine qui fait danser les papilles rien qu’en le feuilletant.

Tu n’es pas abonné ? Alors que dirais-tu de tenter ta chance avec un petit concours?

Fonce sur mon compte Instagram pour participer et peut être remporter 1 exemplaire du numéro 21 sur les salades + 1 an d’abonnement au magazine 95°.

Tu sais quoi ?! Désormais je suis prescriptrice pour le Vitaliseur de Marion Kaplan.

Ce qui signifie que je peux te faire profiter de tarifs exceptionnels pour que tu puisses toi aussi t’offrir ce super appareil ou encore le Trio qui est un accessoire à ajouter pour encore plus de recettes à réaliser.

Alors n’hésite pas à me contacter si tu veux profiter de ces offres !