Depuis 1 mois, les douleurs engendrées par mes différentes pathologies, sont plus intenses.
Elles montent le long de ma colonne vertébrales, irradient dans la nuque et se propagent inlassablement dans ma jambe droite.
J’en viens à marcher le dos voûté, pliée en deux. Et encore, ça c’est lorsque » tout va bien « … Car il arrive que ces douleurs me paralysent le dos et / ou la jambe.
Dans ces moments, j’avoue qu’un massage m’aide un peu. Du moins, sur le coup. Car une fois les mains de mon Chéri hors de contact, ces foutues douleurs reviennent de plus belle.
C’est pourquoi j’ai voulu essayer un gel au CBD.
Même si au départ ce type de produit est préconisé pour les douleurs articulaires et musculaires, j’avais entendu dire par différentes endogirls qu’il était bien utile pour apaiser le corps lors de crises dues à l’endo.
Il m’est revenu à 23€97 ( soit 79€90 le litre) et m’a été livré gratuitement en 1 jour ouvré (en prime).
D’aspect, ce gel me fait beaucoup penser à de la danette. Il a une texture agréable, non grasse, qui ne colle pas et est rapidement absorbée par la peau (sans la dessécher) , ce qui évite de tâcher les vêtements.
L’odeur de menthe est très plaisante. D’ailleurs ce côté mentholé rafraîchit instantanément la zone sur laquelle le gel est appliqué.
Niveau bienfaits, je dois reconnaître que je suis bien contente d’avoir décidé de tester ce produit. Même si au départ, j’hésitais beaucoup à investir autant dans une crème…
Mon Chéri me masse le dos et la nuque lorsque de fortes crises refusent de se calmer, ce qui me soulage durant un bon moment (sans toutefois faire complètement disparaître les douleurs). Je parviens doucement à me détendre.
Et ce qui est le plus appréciable, c’est l’utilisation sur le ventre, quand l’endo belly fait des ravages. Dans ces moments, mon ventre est ultra gonflé (version femme enceinte) et douloureux (l’endo belly provoque de gros troubles digestifs). Je me masse du coup le ventre avec ce gel et encore une fois, je sens qu’intérieurement ça s’apaise.
Attention, je ne dis pas non plus que je retrouve un ventre normal. Mon ballon reste en place, malheureusement. Mais je me sens mieux, moins nauséeuse.
Je te retrouve aujourd’hui pour te parler à nouveau de l’enseigne Sunday Natural. Oui, je dis « à nouveau » car je t’avais déjà présenté cette marque et ses valeurs, lors de la publication d’une recette à base de poudre de shiitake, que tu peux découvrir ici.
Cette fois-ci, c’est pour te donner mon avis sur certains compléments alimentaires proposés par Sunday Natural, que je prends le temps d’écrire ces quelques lignes.
Mais d’abord, laisse moi te planter le décor…
Si tu me suis depuis longtemps, tu sais que je souffre depuis 2015 d’anorexie mentale. Cela signifie que je mange et prends plaisir à manger, mais que malheureusement, j’ai éliminé bien des aliments de mes repas. Ce qui, lié à une bien trop forte activité physique durant 5 années, a eu de grosses conséquences sur mon corps, entraînant d’autres problèmes de santé.
Dont, entre autres, le syndrome de l’intestin irritable ainsi que la maladie de Gilbert, et une anémie.
J’ai eu beau durant 1 an et demi , suivre une alimentation pauvre en fodmap, qui du coup m’a fait rayer d’autres aliments de ma maigre liste acceptée par l’anorexie, rien ne s’est arrangé.
C’est pourquoi j’ai dû passer différents examens et consulter de nouveaux spécialistes.
C’est là que l’on m’a conseillé de prendre certains compléments alimentaires. À savoir, des vitamines, du fer et des gélules à base de curcuma.
Le fer, j’en manque beaucoup, d’où l’anémie, donc je dois remonter ça à l’aide de comprimés à avaler tous les jours.
Les vitamines, je dois en prendre sous 2 formats: 2 ampoules de vitamine D à 15 jours d’intervalle, et de la vitamine B.
Pour cette dernière, je me suis donc tournée vers les gélules All in one de Sunday Natural, ( 26€90 les 120) qui en plus de m’apporter mon complément en vitamine B, me permettent de faire le plein d’autres nutriments nécessaires à mon corps. Ces gélules contiennent non seulement, différentes vitamines (B12, C, D3, K2, E…), mais aussi des acides aminés, des oligo-éléments et des minéraux.
Avec tout ça, je dois dire qu’après 3 semaines de cure, je me sens bien moins fatiguée, même si je ne pète pas le feu tous les jours non plus ^^ Ça m’aide à pallier au manque de certains nutriments qu’engendre mon anorexie. Le tout grâce à des compléments végans, qui ne sont pas bourrés d’additifs, de colorants ou de conservateurs.
On m’a aussi demandé de prendre des gélules de curcuma, dans l’optique de calmer mes douleurs digestives et de protéger mon estomac et mon foie. Du coup je fais aussi une cure de Bio curcuma 1100 ( 14€90 les 240).
Encore une fois, il s’agit de compléments végans Sunday Natural, sous forme de gélules.
Avec la maladie de Gilbert, je suis souvent très jaune car j’ai un taux de bilirubine élevé. Le curcuma permettant de réduire ce taux, ma peau retrouve doucement une teinte plus normale. D’ailleurs, ma prise de sang de la semaine dernière, montre que mon niveau de bilirubine est rentré dans la norme. Merci donc à ces compléments de curcuma, qui y ont certainement contribué.
Ce que j’apprécie tout particulièrement avec les gélules de Sunday Natural, c’est qu’elles arrivent dans des pots en verre. Ce qui est bien plus écologique que les habituels contenants en plastique.
Pour ce qui est du tarif, après comparaison avec d’autres enseignes, Sunday Natural est très compétitif. En plus, il est possible de prendre des packs de plusieurs mois, ce qui est plutôt avantageux.
La livraison reste très correcte, puisqu’il faut compter 4€90 pour une commande pour la France, sachant qu’elle est gratuite dès 79€ d’achat.
Le code FEESUNDAY te donne le droit à une réduction de 10% sur tout le site jusqu’au 18 avril 2021 ( hors coffret et non cumulable avec d’autres offres ).
Big nouvelle ! Un concours t’attend sur mon compte instagram, avec 2 lots à la clé. 2 personnes vont pouvoir remporter un lot de ces 2 compléments alimentaires. Fonce tenter ta chance !
Les graines germées sont désormais très répandues. Leurs bienfaits pour notre santé n’étant plus à démontrer.
En effet, ces mini pousses sont des bombes de nutriments, très riches en vitamines ( surtout vitamines C ), en protéines et en fibres. Tout en étant de super antioxydants, des stimulateurs sanguins et de très bonnes aides pour la digestion.
C’est le processus de germination qui augmente les niveaux de nutriments, rendant les germes plus riches en protéines, en magnésium, en phosphore, en manganèse et en vitamines C et K que les plantes non germées.
Alors pourquoi s’en priver? Une dose sur une tartine…. Une quantité en salade ou glissée dans un rouleau de printemps… Quelques pousses en topping sur une soupe, une crêpe salée, un burger ou une omelette… Tu peux même les ajouter dans une salade de fruits, sur un fromage blanc ou yaourt, ou pour accompagner une délicieuse part de fondant au chocolat.
Les graines germées sont aussi succulentes en salé qu’en sucré.
Bref…
Le but de cet article n’est pas seulement de te donner envie de manger des graines germées, mais surtout et avant tout, de te permettre d’en profiter à petit prix.
Car oui, elles ont un sacré coût. Surtout si tu les achètes déjà toutes prêtes au rayon bio.
Autant les faire germer toi même. C’est bien plus économique.
Mais maintenant, ce que je veux te montrer, c’est qu’il est très facile de créer tes propres mélanges de graines. Ce qui est bien plus avantageux à nouveau qu’avec les mélanges du commerce.
Pour cela, il te faut juste un pot en verre pour conserver ta préparation et des graines. Graines que tu vas pouvoir trouver dans le rayon des épices de ton supermarché, ainsi que dans le rayon des légumineuses sèches.
Dans ce mélange, j’ai mis des lentilles, des graines de fenouil, de coriandre et de sarrasin.
Parfois j’utilise des pois chiches, des graines de tournesol, du quinoa, de l’épeautre, ou même des graines de radis et de luzerne ( dénichées dans le rayons plantes lorsque les beaux jours arrivent ).
Tu l’auras compris, pour déguster des graines germées sans te ruiner, prépare tes mélanges car tu vas en avoir de grosses quantités pour pas cher et en fonction de tes goûts.
Depuis 2015 je jongle tant bien que mal avec mes TCA. L’anorexie n’est franchement pas une partie de plaisir, mais je lutte au mieux pour m’en sortir.
Seulement pas évident de se voir telle que les autres me perçoive, quand le reflet dans le miroir me montre ce ventre proéminent. Ce fichu ventre qui me complexe tellement et dont j’ai régulièrement parlé à mes docs, sans que cela ne les interpelle plus que ça.
Pourtant, quand il décide de gonfler ( et de me gonfler ), il devient une véritable gène. Et pas que psychologiquement. Je me transforme en femme enceinte et suis certaine que je pourrai facilement gruger la file d’attente aux caisses ou encore récupérer une place assise dans le bus, lors de ces périodes là. Périodes qui depuis plus d’un an, sont devenues routinières. Un enfer quotidien, qui jour après jour me fais souffrir.
Car ce ventre, tel un énorme ballon, est aussi dur que du bois et très encombrant. Impossible de me plier en deux… Fortes douleurs dans le bas du ventre qui irradient jusque dans le dos, en passant par les reins. C’est à tel point que même sous les côtes et le thorax, je le sens pousser pour prendre encore plus de place. Trop de place. Bien trop de place.
Pour calmer cette douleur qui devient de plus en plus insupportable, j’ai tout essayé. Médicaments, huiles essentielles, bouillottes chaudes, bains brûlants, massages avec des huiles et/ou crèmes … Rien…. Pas moyen de contrecarrer le phénomène.
Certaines fois, la douleur a été si intense que je n’ai pas pu fermer l’œil de la nuit, ni stopper les larmes. Le Chéri a même voulu m’emmener à l’hôpital, ce que je n’ai pas tenu à faire.
Bien entendu, plus mon ventre gonfle, plus je me vois difforme, plus je me restreins niveau alimentation et plus j’augmente le sport. Ce qui finalement, ne résout rien, m’épuise d’avantage et me plonge tout doucement dans la déprime.
Alors que faire ? Comment arrêter cet engrenage infernal et retrouver une vie plus sereine ?
Mes médecins n’ayant pas l’air de vouloir m’aider ni de se préoccuper de ces détails, qui pour eux ne sont pas graves, j’ai pris le taureau par les cornes et j’ai agi seule.
Dans un premier temps, j’ai fait quelques recherches pour savoir à quoi pouvaient être liés ces symptômes. Bien souvent dans les livres et témoignages que j’ai lu, on parlait de soucis gynéco ou au niveau de la flore intestinale.
Suite à une consultation avec ma gygy, qui m’a expliqué que j’avais le ventre plein de gaz , j’ai décidé de prendre rendez-vous avec un gastro-entérologue.
Quelle bonne idée !
Il n’a pas fallu bien longtemps pour que l’on m’explique que je souffre du syndrome de l’intestin irritable et de dyspepsie. Les deux résultants certainement des mauvais traitements que j’ai infligé à mon corps via l’anorexie et ma mauvaise alimentation. J’ai tout simplement détruit mon microbiote et j’en paie les conséquences.
Après une écho, pas mal de questions et des prises de sang, c’est un petit bout de papier que l’on m’a remis, avec pour consigne d’éviter les aliments inscrits dessus.
Ces aliments sont des FODMAP ( pour en savoir plus c’est ici ) et ont la fâcheuse manie d’irriter l’intestin et de déclencher différents symptômes comme ceux cités plus haut. Le plan étant donc de supprimer dans un premier temps ces FODMAP , puis de les réintégrer doucement à l’alimentation, les uns après les autres, pour voir comment on réagit.
Tout le monde étant différent, il se peut que certaines personnes ne supporte absolument pas les glutens, alors que d’autres si. Ou encore que l’on parvienne à manger un peu de lactose sans souci, mais que passer une certaine dose cela provoque des douleurs. On y va donc petit peu par petit peu et on voit ce que l’on tolère ou non.
Cela fait plus de 15 jours que je suis une alimentation pauvre en FODMAP et je dois dire que j’en ressens déjà les bienfaits. Après la première semaine, mon ventre a retrouvé une allure normale. Partie la grosse boule qui me faisait tant souffrir. Je me lève le matin avec un ventre plat, qui certes, dans la journée peut un peu gonfler (mais rien de bien méchant comparé à cette dernière année ), mais qui ne me gène plus pour m’abaisser et ne me culpabilise plus comme avant.
Les douleurs elles aussi se font de plus en plus discrètes. J’apprends à les dompter et à les reconnaître. Je me rends doucement compte de ce que mon corps accepte ou non comme aliment. Par exemple, il y a quelques jours, je croquais dans un morceau de citron en mangeant mon poisson. J’ai rapidement ressenti une brûlure à l’estomac. Je n’ai pas cherché plus loin et j’ai laissé le reste de ma moitié de citron. Verdict : le jus passe bien, mais 1/2 citron tel quel, ça le fait moyen.
En même temps, je fais de plus petits repas. Le gastro ayant été très surpris de constater qu’alors que j’avais avalé juste un peu de potimarron à 7h la matin du rdv, mon estomac était totalement rempli à 11h passé lorsqu’il m’a fait l’écho.
Je sais désormais que je digère très lentement et que mon estomac étant petit, il vaut mieux que je limite les quantité en une seule prise.
Toutes ces astuces et ce diagnostique m’aident énormément. Non seulement mon moral est en hausse puisque je souffre beaucoup moins et parviens à bouger plus facilement, mais j’ai envie de manger à nouveau plus d’aliment ( et donc de lutter contre Ana ). Car le mois dernier, j’en étais encore à manger plus d’une dizaine de pommes par jour ( ouais , je sais, c’est énorme ), de la salade, des champignons et du poireau. Maintenant, je suis bien obligée de réintroduire les protéines pour tenir le coup. Je parviens même à me faire quelques plaisirs, comme des crêpes à l’amarante, des frites de patate douce ou des crèmes végétales .
Voyant que ces aliments que j’ai bien trop longtemps oubliés ne me font pas de mal, mais au contraire du bien, cela me pousse à continuer mes efforts.
Je ne dis pas que c’est toujours hyper facile. Mais avoir enfin mis le doigt sur ce qui déclenche ces douleurs, ces remontées acides et cette fatigue chronique, avoir eu un diagnostique et être reconnue comme ayant un souci médical ( et non pas comme une affabulatrice ), ça me permet d’avancer.
J’ai même réussi à me faire un petit restau avec ma voisine il y a peu de temps. Et attention! Pas le genre de moment où je demande à ce que l’on ne me serve qu’une salade et un fromage blanc. Je me suis régalée d’une belle et copieuse assiette de seiches à la plancha, avec un peu de salade et de délicieuses frites maison ( 5 ans sans toucher à pomme de terre ! THE défi de la mort qui tue ! ). Après quoi j’ai opté pour une boule de sorbet citron et une boule de sorbet framboise. Un pur instant de plaisir.
Comme quoi, quand on déniche le doc qui connaît son métier et veut bien écouter ses patients, ça ne peut être que positif!
Je vais donc continuer sur ma lancée et éviter encore les aliments trop riches en FODMAP de ma liste. Puis lorsque le gastro me dira que ce sera le moment, je les testerai petit à petit pour savoir les doses qui me conviendront.
Astuce : pour savoir si tel ou tel aliment est riche ou pauvre en FODMAP , et avoir quelques idées de recettes, va sur Fodmapedia
Les plantes sont le meilleur remède qui existe. La terre nous offre depuis toujours, tout ce qu’il faut pour que nous puissions prendre soin de notre corps.
Pourtant, malheureusement, nous sommes dans une société où l’on préfère se gaver de médicaments en tout genre, bourrés de molécules plus chimiques les unes que les autres.
C’est pourquoi, perso, j’aime énormément l’enseigne A.Vogel. Tu vas me dire que ce n’est pas la première fois que je t’en parle, ce qui est juste, mais il faut avouer que j’ai un gros coup de cœur pour leur philosophie.
Cette idée d’être au plus proche de la nature et de profiter de ses bienfaits, me correspond bien, moi qui évite au maximum la prise de médocs. Je préfère 100 fois utiliser des super-aliments et des compléments alimentaires naturels. Ou encore des huiles essentielles.
En ce moment, je suis 2 cures A.Vogel, dans le but de détoxifier un peu mon corps.
La première à base d’ortie permet de dépurifier l’organisme par l’élimination urinaire. Ouais, OK, ce n’est pas très glamour, mais ça a le mérite d’être radical. Même pas besoin d’être enceinte pour devenir Mme Pipi.
Cette plante de l’Antiquité, est un véritable trésor nutritionnel. Si on passe outre sa réputation de mauvaise herbe, on découvre que l’ortie est riche en vitamines B, E et C, et que c’est l’un des végétaux le plus riche en protéines complètes. De plus elle contient 2 fois plus de fer qu’un morceau de viande.
Il ne faut donc pas chasser l’ortie de son jardin, surtout lorsque l’on sait qu’elle est reminéralisante, qu’elle nettoie les reins et qu’elle soulage les problèmes articulaires.
Du coup, mon petit flacon A.Vogel à l’ortie est une vraie potion miracle ( Non Obélix ! Tu es tombé dedans quand tu étais petit !). Au prix de 11€90 les 50ml, il suffit de diluer dans de l’eau ou une tisane, 10 à 30 gouttes, 1 à 3 fois par jour.
Ma deuxième cure est dans le but d’aider la digestion. Avec son mélange de plantes bio, celle-ci facilite et apaise la digestion, tout en protégeant le foie.
Elle contient de l’artichaut (riche en potassium et en fibres), du chardon-marie (purifie et draine le foie en profondeur), du pissenlit (vertus dépuratives), du boldo (riche en boldine qui stimule la sécrétion de bile et facilite son évacuation jusqu’à l’intestin) et de la menthe poivrée (antispasmodique).
Un petit flacon, à 12€90 les 50ml, qui aide à lutter contre les ballonnements. Niveau prise, cette fois-ci, c’est 15 à 20 gouttes dans un liquide, 2 à 3 fois par jour.
À noter que l’enseigne propose d’autres compléments alimentaires, dont certains en comprimés.
D’ailleurs, avec mon état actuel lié à mes gros soucis de santé, je suis de plus en plus épuisée. Du coup, leurs comprimés de vitamine C naturelle me fait de l’œil. De même que le flacon à base de passiflore, qui pourrait peut être m’aider à me détendre et à dormir un peu plus que mes 4h par nuit habituelles.
Et toi, mon petit koala, tu es plus médecine douce et naturelle, ou tu ne fais confiance qu’aux médocs des grosses industries ?
Cuisiner au Vitaliseur est un réel plaisir pour moi et pour tous ceux qui sont tombés sous le charme de cet ustensile. Mais il n’est pas toujours évident lorsque l’on débute avec son Grand Chef ou son Petit Robinson, de le maîtriser à la perfection .
La cuisson à la vapeur douce est particulière et ne demande pas le même temps que lors d’un passage au four ou à la poêle.
Si tu as acheté un Vitaliseur dernièrement, tu as certainement dû avoir dans ton colis, un numéro de base, t’expliquant les grandes lignes de la cuisson à la vapeur douce.
Ce magazine, lancé par Marion Kaplan, la créatrice du Vitaliseur, est une source d’inspiration.
Non seulement il regorge de recettes healthy en tout genre, mais en plus il est plein d’infos sur différents ingrédients utilisés dans celles-ci. Sans oublier les articles santé, avec des conseils pour gérer son alimentation dans le respect de son corps et de sa digestion, ainsi que des interviews passionnantes.
Avoir un exemplaire en main de 95 Degrés, c’est baver devant les photos de plats plus alléchants les uns que les autres, et n’avoir qu’une envie : se ruer vers sa cuisine. Sylvain Thiollier a le chic pour nous tenter au travers de ses photographies si colorées ( il ne manque que l’odeur ).
Chaque numéro est basé sur un thème et regroupe donc des recettes ( classées dans un index, au début du magazine, ce qui est bien pratique pour s’y retrouver ) mettant en avant celui-ci. Le dernier en date, le numéro 22 , est consacré à l’iode. Je t’invite à aller jeter un coup d’œil par ici pour en savoir un peu plus.
Les recettes présentes dans les différents numéros, sont parfois réalisées par de grands Chefs, parfois par des blogueuses. J’ai d’ailleurs eu la chance de pouvoir participer à quelques magazines, comme celui sur les cakes et celui sur les salades. J’ai aussi contribué au prochain numéro qui sortira bientôt.
Toutes les idées que tu peux piocher dans 95 Degrés sont sans gluten et peuvent aussi être veggie, sans lactose ou encore paléo, et toujours pleines de saveurs. Tout est bien expliqué pour ne pas galérer lors de la préparation ( liste des ingrédients, type de recette, niveau de complexité, nombre de convives ). Des astuces sont même parfois ajoutées.
95 Degrés est prévu pour que l’on puisse facilement prendre en main son Vitaliseur et ne plus le lâcher. Indications pour le temps de cuisson des aliments… Comment bien entretenir son Vitaliseur… Les bienfaits d’une cuisson ne dépassant pas les 95°…
Un magazine bimestriel, vendu 48€ pour 1 an, avec une bonne centaine de pages ( et la possibilité d’accéder au site privé, avec des vidéos et autres recettes ).
Ce qui signifie que je peux te faire profiter de tarifs exceptionnels pour que tu puisses toi aussi t’offrir ce super appareil ou encore le Trio qui est un accessoire à ajouter pour encore plus de recettes à réaliser.
Alors n’hésite pas à me contacter si tu veux profiter de ces offres !
Les graines germées sont une bonne source de vitamines et de minéraux, mais sont aussi riches en oligo-éléments, en fibres et en protéines. Tout le principe des graines germées repose sur le processus de germination. Celui-ci va multiplier les propriétés naturelles déjà contenues dans les graines séchées, ce qui va nous permettre d’avaler des aliments ultra riches en nutriments.
De plus, les graines germées sont remplies d’enzymes qui vont aider la digestion des aliments cuits qui en sont dépourvus.
Avec une consommation quotidienne et régulière de graines germées, on peut arriver à retrouver sa forme et sa vitalité tout naturellement. Ce sont des aliments facilement assimilables, très énergétiques, plus concentrés en nutriments et en enzymes que les légumes.
On trouve facilement des graines germées dans les rayons frais des magasins bio, mais il est très intéressant de les faire germer soi-même, quand on désire en consommer fréquemment.
On va pas se mentir, si on adore ajouter des graines germées à ses salades ou encore dans des toasts, ou pourquoi pas dans des yaourts, voire même dans des wraps, le stock a tendance à partir ultra rapidement. Puis ça a tout de même un certain coup, qui n’est pas négligeable.
C’est pourquoi personnellement je prépare à la chaîne mes petites pousses croquantes, pour en avoir toujours à disposition.
Aucune raison de rater la germination de mes graines, puisque j’ai toutes les astuces nécessaires dans ce bouquin.
Au fil des pages on apprend l’intérêt de faire germer ses graines soi-même, mais aussi quel matériel choisir, et quelles graines cultiver ( toutes n’ayant pas les mêmes valeurs nutritionnelles).
Perso je cultive mes graines germées dans un bocal spécialement conçu pour cet effet, qu’ Avogel m’avait envoyé il y a quelques temps. Ça prend peu de place, c’est relativement simple et je réussis à tous les coups à obtenir un pot rempli de délicieuses graines sans le moindre effort.
Mais d’autres possibilités sont indiquées dans les pages de ce livre, comme le germoir en plastique, le sac de chanvre ( procédé inconnu jusqu’alors pour moi), le germoir en plateau ou même en terre cuite, ainsi que les germoirs automatiques qui permettent aux novices de ne pas avoir à rincer les graines matin et soir, puisque l’appareil s’occupe tout seul de les hydrater.
Des idées pour bien conserver ses graines germées, des conseils en fonction du type de graines utilisé, et même une rubrique pour réaliser de l’herbe à chat, rien ne manque dans ce bouquin bien détaillé et illustré par de nombreuses photos.
Le petit plus fort sympathique se tient dans les dernières pages. Soupe froide aux pousses feuillées version italienne/ mexicaine/ ou même asiatique, sandwich au beurre de cacahuète et graines germées, houmous de pousses crues, jus de pousses, tant d’idées qui mettent l’eau à la bouche et donnent envie de cuisiner.
Si l’aventure des graines germées maison te tente, n’hésite pas à te procurer le livre Faire pousser ses graines germées, car il te sera de très bons conseils.
Merci à Natura Sense pour ce joli cadeau en partenariat.
Après avoir découvert le Hygge au travers d’un livre passionnant dont je t’ai déjà parlé ici, je viens d’avoir l’occasion d’en apprendre plus sur le Ikigai.
Peut-être n’en as-tu jamais entendu parler, c’est pourquoi je vais me faire un plaisir de te décrire un peu de quoi il s’agit et de te donner par la même occasion mon avis sur le livre La méthode Ikigai, de Hector Garcia et Francesc Miralles.
Mais qu’est-ce que le Ikigai ?
Pour les japonais il s’agit d’une mission de vie, un but pour lequel on se lève le matin et qui fait qu’il vaut le coup de vivre sa vie. Tout le monde en serait pourvu, même si nous ne nous en rendons pas forcément compte.
La méthode Ikigai fait suite à un premier livre intitulé Ikigai les secrets du Japon pour mener une longue et heureuse vie, qui a rencontré un vif succès.
Nous allons découvrir trois lieux emblématiques du Japon, qui chacun vont correspondre à un moment-clé de notre vie :
Dans ce second opus, les deux auteurs décident de nous faire passer de la théorie à la pratique en nous emmenant dans un voyage fort sympathique.
Tokyo nous plongera dans le futur pour que nous puissions nous fixer des objectifs, dans le but de les accomplir.
Kyoto nous emmènera dans notre passé, pour que nous puissions comprendre d’où nous venons et retrouver les passions que nous avions étant gamins.
Ise représentera notre présent, ce moment qu’il ne faut pas négliger et vivre à fond.
Un joli programme pour cultiver le bonheur au quotidien et trouver l’harmonie qui est en nous.
Armés d’un gros trousseau de 35 clés, regroupant des anecdotes et des réflexions sur le Japon, mais aussi de petits exercices, nous allons partir à la recherche de notre Ikigai.
C’est avec toute la sagesse japonaise que nous allons survoler un pays merveilleux où le bien-être sera le point le plus important : notre bien-être. D’ailleurs de fil en aiguille nous allons réaliser que chacun de nos actes, chacune de nos paroles, sans que nous en ayons conscience, concordent vers un même but : notre Ikigai.
J’ai beaucoup apprécié cette aventure japonaise au travers de mon subconscient, qui non seulement m’a permis de m’imaginer, sac à dos et valises à la main, me baladant de ville en ville dans un pays étranger, mais aussi de comprendre comment donner une orientation à ma vie. Pas besoin de se fixer un but ultra compliqué. Juste de choisir des objectifs qui nous font sortir de notre zone de confort et nous motivent à aller de l’avant.
A Okinawa, coin au sud du Japon connu pour la longévité de sa population, l’expression est souvent utilisée pour exprimer une forte passion, qui anime toute une vie. Dans le genre du rêve de Tiana, personnage de La Princesse et la Grenouille, qui voulant à tout prix posséder son propre restaurant en mémoire de son père, va travailler sans relâche et se lever chaque matin avec le sourire malgré les épreuves.
Pour ma part j’ai découvert en cherchant mon Ikigai, qu’au delà du fait que j’aime écrire, prendre des photos et cuisiner, ce qui me permet de tenir ce blog, c’est l’envie de partager, de discuter et peut-être de communiquer une de mes passions à certains d’entre vous, qui est ma véritable raison d’être, mon Ikigai.
Faire des échecs du passé, des réussites pour le futur, tout en cultivant son potentiel.
Merci Harmonie Solar éditions, de m’avoir aidé à trouver mon Ikigai enfui en moi, grâce à ce livre que vous m’avez envoyé !